Il a déjà été question ici de ce résident genevois dans deux de mes précédents sujets: une lettre ouverte adressée aux autorités genevoises relative à ce Genevois qui finance l’armée ukrainienne.
Oligarque aux trois passeports, cet homme se fait un plaisir d’ignorer les frontières.
Sauf pour certaines d’entre elles qui selon lui, doivent être non seulement maintenues mais renforcées.
Et pas n’importe comment.
Non, les 2000 kilomètres qui séparent la Russie de l’un des trois pays desquels il a la nationalité, l’Ukraine, doivent être marqués par un mur.
Avec barbelés au sein desquels passera un courant. Démocratique et électrique.
Igor Kolomoïski assure que la réalisation de ce symbole d’ouverture est réalisable en quelques mois.
Le financement sera pris en charge par le compte d’un fonds de bienfaisance.
Genève a de quoi être fière de son résident. Avec un tel philanthrope, c’est l’humanisme qu’on assassine.
Sujet paru dans l’édition du 17 juin 2014 de La Tribune de Genève.Conformément à la déontologie, la rédaction s’est réservé le droit de choisir le titre.
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