Donc je me suis à nouveau forcée à regarder l’émission animée par cette jeune femme dont il a été question ici mais dont il paraît préférable de taire l’identité vu qu’elle semble éveiller l’activité d’algorithmes d’un réseau social bien connu.
Coïncidence ou pas, après avoir évoqué la difficulté de la dame à nommer correctement celui dont elle parlait et dont le sort tient en haleine tant de nos médias, ce sujet donc a été impossible à partager dans des groupes dudit réseau social.
En d’autres termes, les algorithmes ont paré à la trop grande diffusion de l’ignorance de cette animatrice d’émission grand public.
Le fait est que, dans celle que je me suis infligée à nouveau, d’émission, le prénom de celui dont on a appris qu’il avait mis un terme à sa grève de la faim a été le bon. Merci pour lui, quand même, cela dit sans la moindre ironie. Car oui, il m’importe de le souligner ici une fois encore, c’est à la russophobie patente de tant de nos médias que je réagis, le sort de cet homme étant à distinguer de ce qui en est fait.
Mais comment se battre contre autant de mensonges diffusés à grande échelle et à grands renforts d’appuis autant financiers que politiques? C’est David contre Goliath, ce blog et les médias mainstream! Qu’à cela ne tienne, ce qui y est énoncé l’aura été.
Dans l’entretien que nous avons eu avec Jacques Baud et qui a été publié ici hier, l’éclairage qu’il nous livre permet d’emblée de comparer la réalité de faits aux broderies énoncées dans le cadre de cette émission fort suivie et prisée par la confiance que lui accorde son public..
Nul(le) n’est obligé(e) d’aimer « la Russie de Poutine ».
Mais le mépris affiché de certain(e)s journalistes envers un peuple qui a élu son Président avec un score de voix autrement plus élevé que celui obtenu par d’actuels Présidents occidentaux, ce mépris-là, c’est lui que je combats tant il déshonore la profession de journalste.
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