En cette veille de Noël, difficile de ne pas songer à tant de manières de l’aborder. Qu’on le veuille ou non, qu’on reconnaisse sa célébration chrétienne ou non, sa force symbolique est là.
On a beau dire, la pression s’exerce, qu’on organise des agapes en famille ou entre proches, qu’on se coupe au contraire de toute forme de festivité parce qu’on s’en fiche ou qu’on s’en moque.
Noël est une fête collective dont le sens n’a cessé de se transformer tout au long de l’Histoire. De nombreuses études ont été et continuent d’être consacrées à ce sujet.
Ce qui ne change rien au fait que Noël occupe l’espace par les décorations que la fête inspire, par les marchés qui lui sont dédiés, par l’effervescence commerciale qui lui est liée.
Des « Noël » sont organisés un peu partout, on pense aux personnes isolées, âgées, on pense à celles qui sont malades, démunies, bref on se montre solidaire.
Il y a, bien sûr, quelque chose d’émouvant dans pareils élans altruistes. Et les retenir plutôt que de se polariser sur la violence et l’agressivité est tout aussi bien.
L’amour entre les êtres peut toujours rester un voeu pieux, il n’en demeure pas moins émis et vaut autant que haine et détestation.
Joyeux Noël à toutes et à tous!
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