Vous en êtes évidemment tous conscients, la guerre en Ukraine occupe l’attention de nos médias au point que l’on serait presque tenté d’imaginer le reste du monde sinon en paix, du moins à l’écart de conflits dignes de ce nom.
Aussi, l’attention à ne porter qu’à une seule guerre atteint-elle des dimensions telles que plus rien ne limite les protagonistes d’émissions de radio ou de télévision dont on pense qu’elles informent.
Tel est le cas, par exemple, de ce que j’ai découvert hier soir sur LCI avec la bande d’intervenant(e)s qui entourent Eric Brunet. On croit chaque fois avoir atteint des sommets, on en gravit sans cesse de nouveaux.
Bref, pour une fois, je n’indiquerai pas le lien à ce qui s’est exposé tant on se dit que la retenue, la pudeur ou la honte ne doivent sans doute pas appartenir au langage de telles gens.
Je vais, en revanche, vous renvoyer à cet interview de Jean Sirapian, directeur des Editions SIGEST et de la revue Europe & Orient, également auteur de Palou-Paris,un parcours arménien.
Il y est aussi question de guerre, hélas, si peu médiatisée que ses victimes peuvent tomber et continuer de tomber sans que leurs assaillants ne soient inquiétés.