La France, apprend-on, aurait choisi d’accueillir un réfugié homosexuel tchétchène le jour où le Président russe était convié par son homologue français à Versailles.
Coïncidence voulue ou non, le fait n’a pas manqué d’être signalé dans les médias, pas moins non plus, d’être discuté par les deux chefs d’Etat.
Par ce geste, la France, exprime des valeurs qui lui sont chères et qui touchent aux droits humains dont elle se veut digne représentante.
Dans ce cas et forte de son Histoire qu’Emmanuel Macron n’a pas manqué d’évoquer lors de la conférence de presse qu’il a tenue avec Vladimir Poutine, se montrer réceptif à d’autres martyres endurés depuis des années et des années par les chrétiens d’Orient aurait-il aussi suscité un tel empressement?
Quand on sait qu’en juin 2015, la RATP et son agence de publicité METROBUS avaient fait supprimer de l’affiche d’un concert, la mention qu’il était donné en faveur des chrétiens d’Orient et qu’il a fallu aller en justice pour contester cet acte de censure, on a de quo rester perplexe sur ce qui vaut d’être soutenu sinon accueilli et pas au pays des droits humains.
Dans le précédent sujet de ce blog, le sort terrifiant de chrétiennes d’Orient a été évoqué. Un ouvrage a aussi été cité en référence, celui de Frédéric Pons.
Dans un entretien, le journaliste s’exprime sur un calvaire qui ne semble guère émouvoir cette France, fille aînée de l’Eglise selon la formule consacrée et autrefois protectrice des chrétiens d’Orient.
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