Etre femme, être chrétienne en Orient, c’est savoir que l’on risque de se retrouver esclave, c’est savoir que l’on risque d’être violée jusqu’à trente fois par jour, c’est savoir que l’on risque le calvaire.
A côté de la mort qui plane en permanence sur la communauté chrétienne d’Orient, c’est le martyre qui s’offre en partage quotidien.
Pendant ce temps-là, en Occident, on se déploie en efforts pour accueillir autant de persécutés, victimes de régimes politiques insoutenables.
Pendant ce temps-là, en Occident, on vise tel ou tel Chef d’Etat dont on dit qu’il se comporte en tyran.
Pendant ce temps-là, en Occident, après chaque acte terroriste, évidemment dénoncé, on explique en même temps qu’on doit s’y habituer.
Frédéric Pons, dans son dernier ouvrage, dénonce l’Occident et sa part de responsabilité dans autant de massacres qu’il qualifie de génocide.
Après Jean d’Ormesson, encore une personnalité française qui ose le terme tandis qu’être chrétien, aujourd’hui, est de moins en moins de mise sinon plus même sujet à être protégé.
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