société

La guerre, le gore et le sublime

capture d’écran de :http://www.telerama.fr/cinema/religion-violence-nature-les-obsessions-de-mel-gibson-dans-tu-ne-tueras-point,149922.php#xtor=EPR-126-newsletter_tra-20161112
 
Doit-on montrer certaines images, peu favorables à celle que l’on souhaiterait de l’être humain, la question revient souvent et divise.
Parmi les personnes qui préconisent que oui, que la réalité humaine doit être présentée dans toutes ses dimensions, certaines argumentent que seule une humanité ainsi mise face à elle-même est susceptible de changer. 
La prise de conscience de soi, selon elles, serait suffisante à déclencher une véritable mutation.
S’il arrive que ladite mutation se produise, l’inverse est tout aussi vrai.
L’actualité du monde montre combien la cruauté oeuvre en toute impunité en dépit d’appels lancés ici et là pour y réagir, images ou non à l’appui.
Dès lors, n’est-ce pas la seule image à montrer ou pas qui est en cause.
Mais sa lecture. 
Dans ce sens, le nouveau film de Mel Gibson, présenté ici par Telerama interpelle:
http://www.telerama.fr/cinema/religion-violence-nature-les-obsessions-de-mel-gibson-dans-tu-ne-tueras-point,149922.php#xtor=EPR-126-newsletter_tra-20161112

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