Nos médias suivent avec la plus grande attention le sort adverse réservé à ce citoyen russe présenté comme « adversaire numéro un de Vladimir Poutine », variante au « principal opposant » du même.
Après avoir commenté, dans le sens où je me suis exprimée ici, un article publié sur le site du journal Le Monde, l’évidence du constat a été incontournable.
Rappeler d’Alexeï Navalny qu’il n’est pas le « principal opposant » du Kremlin? Re-belotte, me voici suspectée d’être « en service commandé ».
En rire reste bien sûr possible plutôt qu’en pleurer.
Pourtant, tout cela est d’un triste!Triste comme l’est un jour de pluie sans fin. Triste comme le sont ces visages fermés, ces regards braqués sur tout et rien, pis, vides.
Car c’est bien de cela dont il s’agit ici.
De personnes qui ne se donnent plus la peine de lire, de personnes à l’horizon balisé et défini une fois pour toutes et à jamais.
Félicitations à qui matraque à coup d’informations sélectives et orientées qui font que se risquer à les nuancer revient de plus en plus à jouer les kamikazes.
3 Comments
Et voici qui ne manque pas d’intérêt!
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/alexei-navalny-presente-des-traces-d-empoisonnement-selon-l-hopital-allemand-en-charge-des-soins-20200824?fbclid=IwAR15KagUtVS-R6F-3Kg8_23aVvRWo_qSN4rMvaqro2atBwW5AQkwk0sR5l8
Bonjour, je suis heureux à en pleurer de voir que je ne suis pas seul à commenter la position des médecins allemands, le département d’état américain, veille. Soyons naïf pour ne pas être Agressé par les Bhliens.
Courage Hélène vous êtes pas seul dans ce monde 🗺 a voir analysé….!?!?
Alors l Hôpital de la « Charité » à Berlin où M. Navalny est désormais soigné après avoir été autorisé à quitter la Russie, cet Hôpital a trouvé des traces « possibles » d un empoisennement.
Dans la médecine légale, un poison est là ou pas (le terme possible reste incongru) et secundo un poison a un nom. Il faudrait transmettre ce nom afin qu une enquête officielle soit faite en collaboration avec le « possible » accusé empoisonneur qui reste innocent jusqu à preuve contraire.
Entre nous, si les Services secrets Russes voudraient se débarrasser définitivement de M. Navalny, elle ne l aurait pas ni soigné tout d abord en Russie tout ni le laisser partir, non?!
Bien à Vous Mme H.R.-F.,
Charles 05