Après l’émotion que l’on peut qualifier de planétaire, qui a suivi l’incendie de Notre-Dame de Paris, même si elle a, bien sûr connu ses pourfendeurs haineux, voici le temps des aigris.
On voit, en effet circuler sur les réseaux sociaux, des images de la Cathédrale flanquée du nom des grands groupes français qui ont déjà fait offre de centaines de millions d’euros de dons pour la restaurer.
Les esprits malins qui conspuent le geste d’autant de grandes fortunes ne livrent que les limites de leur raisonnement.
Sur la comparaison avec la misère du monde qui mobiliserait moins que les flammes qui ont ravagé Notre-Dame, je me suis exprimée hier ici-même.
Que des grands groupes français se mobilisent, que de simples citoyennes et citoyens du monde entier tiennent elles et eux aussi à apporter leur soutien financier à la reconstruction de Notre-Dame les honore.
A tout mélanger, à tout confondre, c’est la ligne d’horizon terne d’autant de personnes envahies d’aigreur qui se lit.
Culture, Histoire, Religions, société
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