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Amour

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Hommage à toi

Une fois n’est pas coutume, je rends hommage, ici, à la mémoire d’un être très proche.
Ce blog, il l’a suivi de près.
Des combats, il en a mené de nombreux.
  
Le monde est fait pour ne pas être compris, m’étais-je entendu dire, un jour.
On le quitte, ainsi, plus facilement.
Repose en paix, mon ami!

Politique, Religions, société

Une femme, un homme, l’avenir en question

Le sujet vaut qu’on y revienne autant de fois qu’il nous est imposé par autant de médias soucieux de nous y rendre sensibles.
C’est pourquoi cet article, posté sous le précédent sujet de ce blog par un intervenant qui se reconnaîtra et que je remercie au passage de son commentaire, mérite qu’on y prête attention.
Certes, il émane d’une chaîne russe en français considérée comme relai de propagande du Kremlin par autant d’esprits soucieux de vérité. Mais qu’à cela ne tienne, jusqu’à nouvel avis, le média en question a été reconnu par l’Hexagone en dépit de cris d’orfraie poussés par ses détracteurs.
Cet article de Russia Today donc, pourrait être une manière d’informer les jeunes filles ou autres femmes de ce qui sera susceptible de les guetter au cas où elles noueraient une relation avec un croyant, en l’occurrence, musulman.
A chacune et à chacun sa foi, respectable en tant que telle, mais à chacune et à chacun aussi de savoir ce qui peut lui arriver en couple avec un fervent adepte de telle ou telle religion et des pratiques qu’elle recommande quand elle ne les impose pas!

Culture, Politique, société

Urgent! Qu’un bréviaire de bonne conduite soit offert au plus tôt à tout homme!

Quel déballage et quel étalage au nom de la femme ou du féminisme, on s’y perd.
En arriver à de tels échanges au nom de revendications de quoi, au juste? Celle de ne plus avoir à subir de tutelle machiste? De désirs masculins inconvenants? Celle de se libérer de mémoires encombrées d’actes sexuels imposés? De rendre public le cri de corps abusés?
Pour autant qu’on ait déjà sensibilisé à cette problématique les nouveaux arrivés de pays dévastés par guerres et autres fléaux, il serait bienvenu et intéressant de recueillir leurs sentiments à cet égard.
Alors qu’ils ont franchi nombre d’épreuves au péril de leur vie et, le plus souvent, à grands frais de passeurs, ils devront, quoi qu’il en soit, se hâter de retenir la leçon d’autant de femmes.
Eux qui ont manqué de tout, souhaitons-leur d’apprendre au plus tôt les bonnes manières et le comportement adéquat à adopter pour trouver bon accueil auprès d’une femme.
Faute de quoi, ils seront mis au pilori et n’auront plus que leur bonne foi pour se défendre. Celle d’avoir désiré une femme.

Culture, Histoire, Religions, société

A vous toutes et tous, Joyeux Noël!

Noël, chacune et chacun le célèbre à sa manière ou pas du tout.
Pour autant d’exégètes ou autres historiens et spécialistes, la fête a ses origines et ses explications.
Soit.
Et avec tout le respect à porter à leurs points de vue, tous sont autant de sujets à rencontres, débats et autres discussions parfois sans fin sinon sans issue.
Le fait est que pour grand nombre de personnes, la fête de Noel a un sens qui leur est propre et cela se conçoit tout autant.
Quoi qu’il en soit, Noël célèbre la nativité du Christ, qu’on y croie ou non.
L’essentiel est-il là?
Je laisse volontiers la question ouverte en ces temps de revendication laïque à tout prix.
Joyeux Noël à vous toutes et tous!

Politique, société

Une femme, un homme, obscur objet politique

Le journal dit de référence -ou du moins l’a-t-il été autrefois- poursuit au sujet de l’affaire qui vise un désormais ex-élu suisse. Le malaise ne s’est pas dissipé à Berne, nous apprend-il.
Bien.
Mais un autre malaise est perceptible. Celui qui met la femme en position de victime. Celui qui rend l’homme possédé de désirs qu’il ne maîtrise pas ou mal. Celui qui crée des reflets déformés de la relation entre les sexes.
Il en a déjà été question, ici, de cette manière de (dé)considérer la relation entre femmes et hommes. Or il est important d’y revenir, tant ce procédé qui vise à libérer la parole de femmes est discutable.
D’abord, il est à sens unique, ensuite, il viserait à modifier l’imaginaire, enfin, il apparaît bien plutôt destiné à gommer les différences entre femmes et hommes.
Qu’on revendique le respect entre les unes et les uns! Alors, les différences seront sources de richesses mutuelles. Au lieu de quoi, on entretient une guerre larvée qui ne profite ni aux unes ni aux autres.
Là est le malaise, Monsieur le journaliste!

Culture, Politique, société

La violence faite aux femmes, la belle ou sinistre affaire?

Dans des Etats qui se revendiquent de droit, assister à de telles mises à mort de personnalités publiques, force est de relever que la présomption d’innocence y prend un sacré coup.
Combien d’images de personnalités que la justice n’avait pas encore condamnées ont-elles été diffusées de la manière la plus humiliante qui soit?
On se rappelle, bien sûr, Dominique Strauss-Kahn, photographié et affiché sur les écrans et les journaux du monde entier, menotté et encadré par la police alors qu’il quittait le commissariat de Harlem à New York. C’était en mai 2011.
Cet homme, qu’on l’apprécie ou non a été exhibé comme du gibet. De même, désormais, tous ceux dont les comportements sexuels sont soudain dénoncés alors qu’ils ne semblent pas dater d’hier.
La volonté de politiser les relations entre femmes et hommes est une évidence. Et les médias en font leurs unes, leurs éditoriaux, leurs chroniques et leurs débats.
A suivre, en l’occurrence, celui qui s’est déroulé récemment sur la RTS, il apparaît comment oeuvre le regard de ce journaliste du Temps qui a enquêté et de ces autres qui volent au secours d’une femme tandis qu’elle serait larguée par des membres de son propre parti.
C’est si facile de descendre ou de récupérer une femme ou un homme à sa cause. En l’occurrence, par le comportement sexuel déviant, abusif qui va être dénoncé.
Cela s’est fait pour les migrants avec l’affaire des viols de Cologne, cela se fait avec telle ou tel élu(e), cela s’est fait avec telle ou telle personnalité du monde culturel.
Si vraiment la violence faite aux femmes était concernée, il y a longtemps que des mesures réelles auraient été prises. Au lieu de quoi, on s’en saisit pour en faire la cause d’un quinquennat.

Culture, Politique, société

Stop au harcèlement médiatique!

Et vogue la galère, le sexisme a le vent médiatique en poupe. 
Les femmes, victimes d’hommes qui les dominent, victimes d’hommes qui les harcèlent, victimes d’hommes, tout simplement.
Et la Cour médiatique de convoquer tout ce qu’elle trouve de témoins, de procureurs ou autres avocat(e)s ou juges pour instruire. A charge, bien sûr, contre la gent masculine.
Certes, les brutes existent et hantent toutes les couches de la population, tous les milieux socio-économiques et culturels, quels qu’ils soient. 
Alors, clouer les hommes au pilori au nom de l’égalitarisme?
Que cesse ce mythe! La femme n’est pas l’égale de l’homme. Mais ne lui est pas non plus inférieure. La femme est différente, il semble que cela apparaisse, parfois pour qui regarde bien…
Gommer la spécificité des sexes est une vision sinon un projet de société.
Non, la femme n’est pas identique à l’homme. Et pour le reste, à savoir, les violences qu’elle aurait à subir, il y a des tribunaux.
Que la justice s’y applique ou non est un autre sujet. Tout comme le court-circuitage médiatique qui crée l’embrouille.
En l’occurrence, le problème de la violence que l’homme exercerait sur la femme est noyé par des affaires qui n’en sont pas.
Se confier à tel(le) ou tel journaliste, en effet, crée le buzz, rien d’autre mais dessert et les vraies victimes d’abus sexuels et la qualité des relations entre femmes et hommes.

société

L’amour, le désir, loin du sexisme et pas qu’au cinéma

La guerre des sexes devrait-elle avoir lieu qu’on ne saurait mieux s’y prendre. A accorder autant d’importance à des affaires qui n’ont, en somme, de nouveau que l’attention qu’on leur porte, on ne cultive que divisions et conflits.
Quel intérêt à entretenir d’aussi récurrentes histoires qui n’ont de fondements qu’autant de comportements masculins déviants?
Pourquoi ne pas, dans ce cas aussi, évoquer ces femmes qui parviennent à ruiner la vies d’hommes? Ils sont nombreux à avoir eu à subir des charges qui les ont mis à plat.
Les relations entre femmes et hommes sont aussi complexes que multiples dans leur manière de se réaliser. Mettre sans cesse en avant des harceleurs, des abuseurs et des violeurs, c’est réduire la gent masculine à ce qu’elle a de plus vil. 
Il ne s’agit donc pas là de minimiser les cas de violences faites aux femmes, surtout pas. Mais de ne pas cultiver autant d’animosité envers les hommes.
Le machisme, le féminisme sont des manières de considérer, pour le premier, la femme, pour le second, l’homme. Mais entre ces deux partis pris, existe une foule de regards que les deux sexes se portent de manière mutuelle.
Oui, amour et désir sans déviances existent! Parlons-en, voyons-les, écoutons-les au lieu de séparer ce qui peut aussi bien unir la femme à l’homme!

Culture, Politique, société

La femme, son corps et la politique selon cette féministe

C’est politique parce que les femmes demandent justice, elles remettent en cause un rapport de force. C’est cela le politique, c’est quand un groupe d’opprimés dit : « Ça suffit » (…) la peur, en plus de la honte, a changé de camp. Ainsi s’exprime la philosophe et historienne Geneviève Fraisse dans le cadre d’une interview qu’elle accorde en relation avec l’affaire Weinstein.
Et de poursuivre, affirmative, Tout le monde est concerné.
Non, Madame, tout le monde n’est pas concerné ou du moins ne se sent pas concerné comme vous l’entendez. Et c’est tant mieux. Car tous les hommes ne sont de loin pas des prédateurs. Pas davantage les femmes ne sont-elles de blanches colombes.
La déferlante de balances sur les réseaux sociaux charrie un nombre invraisemblable de cas auxquels sont mêlés de manière indistincte, maux et mots abusifs.
Mais voici qu’en conclusion de l’interview,la philosophe et historienne précise, le formel ne fait pas le réel, les lois ne changent pas le quotidien. Elles l’aident, mais ne le changent pas. Aujourd’hui c’est la question du corps des femmes qui est au cœur des débats, qui est politique. Et c’est tout l’imaginaire collectif autour du corps des femmes qu’il faut changer. Pour cela, il va falloir être inventif.
Devrait-on bousculer autant d’images du corps de la femme qui ravissent et enchantent? L’homme sait aussi rêver et admirer sans agresser, sans violer.
A eux, ce tango…

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Abusée, suicidée, la jeune fille et la mort

L’expression de ce visage reste difficile à oublier.
Il s’agissait d’une adolescente qu’on avait incitée à porter plainte contre son abuseur. Ami de la famille, comme cela peut souvent arriver, l’homme avait entretenu une relation intime avec la jeune-fille. Sans le moindre avenir puisque les règles d’usage, dans les milieux respectables, veulent qu’on privilégie la famille et sa réputation avant toute autre inclination.
Combien sont-elles, qui ont idéalisé l’homme qui se présentait à elles comme, peut-être même protecteur, allez savoir ce que dicte un désir à satisfaire …
Or livrer un homme à la justice ne va pas de soi. Car pour peu que le sentiment s’en soit mêlé, ce qui se conçoit tout à fait, celle qui aura rompu le secret s’estimera fautive. Aussi bien assiste-t-on au renversement de la peine qui visera celle qui la porte et non plus celui qui l’a infligée.
Le processus de culpabilisation est parfois si bien rôdé que pour s’y soustraire, ne s’offrent alors plus que les solutions radicales. En l’occurrence, ladite jeune fille n’a pas supporté de mettre face aux juges l’homme et sans doute avec lui, l’ensemble des valeurs qu’il incarnait.
Lorsque l’obstacle s’avère soudain insurmontable, il vainc toute forme de résistance qui lui aura été opposée et la mort seule apparaît en état d’apaiser la blessure.
La jeune fille a donc mis fin à ses jours.