Genève à son grand quotidien qui, certes, réserve encore un espace à des points de vue qui divergent de sa ligne éditoriale mais relaie la célébration des dix ans d’une « brigade », il en a été question ici.
Genève a son « église russe » -comme on l’appelle ici- mais qui, en réalité, réunit des fidèles originaires de pays qui ont été ou sont en guerre avec la Fédération de Russie.
Que l’on soit croyant ou pas, rejeter la haine affichée envers un peuple est essentiel et pourtant semble devenir périlleux. Qu’à cela ne tienne, écoutez ce que j’ai cueilli au passage, tout à l’heure, à deux pas de la Vieille Ville de Genève.
3 Comments
Est-ce pour rappeler que les ukronazis persécutent l’église orthodoxe ukrainienne affiliée au patriarcat de Moscou?
En réponse à votre question -qui ajoute une dimension au sujet proposé ici- Daniel, non, mon intention a été exposée et m’est venue lorsque j’ai entendu tinter les cloches de cette église vers laquelle convergeaient des fidèles.
Quoi de beau que le son des cloches de nos églises (peu importe qu’elles soient catholiques, orthodoxes ou autres). Mais là aussi je vais exprimer mon admiration pour notre société: autrefois, en Autriche, les dimanches, les nombreux jours fêtes et parfois en semaine, les villages étaient pleins du son des cloches. On les entend de moins en moins: ça gène les touristes! De même que chez nous, à la campagne, pour la même raison, les cloches des vaches sont de moins en moins tolérées. Par contre, les petits jeunes qui font un vacarme d’enfer avec leurs motos sont intouchables. Je ne précise pas ce que je pense de tout ça, je deviendrais grossier.