Vous l’aurez constaté, un nombre impressionnant d’experts et de spécialises commentent ce que nous vivons depuis que le coronavirus a pris possession de nos vies pour en décider du rythme, du sursis ou du terme.
Ils sont invités à faire part de leurs travaux et, on l’a remarqué, les résultats s’avèrent souvent aléatoires et contradictoires. Mais c’est la norme, dans la recherche scientifique et c’est aussi bien ainsi.
Sauf que d’aucuns seraient plutôt enclins à l’absolu de solutions-miracles. Les voici, de fait, nous déclarer tout ce qu’ils savent alors que tant d’autres tâtonnent.
A autant de leurs lumières s’ajoutent les éclairages de philosophes qui, en un temps record de maturation, nous présentent déjà le fruit de leurs très profondes réflexions.
Et pour couronner le tout, sans mauvais jeu de mots et de maux en lien avec la couronne caractéristique du virus, les moralistes alignent les poncifs que leur inspire la crise qui frappe la planète entière.
Ainsi se conjuguent les approches des uns et des autres pour venir au chevet d’un mal dont on ignore à peu près tout sinon qu’il frappe et tue à l’improviste.
A autant de victimes et de combattant(e)s qui luttent, vont mes pensées en cette veille de semi-déconfinement helvète.
1 Comment
Il serait plus juste de dire en cette veille de déconfinement helvète… de sortie de la boulangerie de tata Simonetta, gérée par Alain 1er selon le numéro spécial de LA NATION du 24 avril 2020 qui publie un portrait d’icelui sous le titre « Coronement d’Alain 1er ». Les bons vœux se sont plutôt transformés en pandémie de terreur…