À la guerre qui sévit en Ukraine s’ajoutent des prises de position étatiques dont on se demande bien pourquoi elles interviennent en ces temps troublés et douloureux pour autant d’Ukrainiens que de Russes.
Le grand quotidien suisse Le Temps –autrefois dit « de référence »- nous apprend que « le Conseil national reconnaît l’ « Holodomor », la grande famine en Ukraine, comme un génocide ».
Ce tragique épisode de la vie soviétique a généré des myriades d’articles.
Loin d’être inconnu, le voici soudain mis au service d’États dont on suppose – non, voyons!- dont on est certain qu’ils n’ont rien à se reprocher pour s’instaurer ainsi en Cour de justice autoproclamée.
Quoi qu’il en soit et surtout, sans rien banaliser du tout de cette tragédie, je vous engage très vivement à découvrir ce rapport publié sur le site de l’Oakland Institute. Son intitulé seul devrait vous donner une idée de la situation dont on guette avec impatience le prochain relai dans nos médias.
À chacune et chacun de défendre sa position et de persévérer à estimer la Russie à l’origine de tous les maux de l’Ukraine. En attendant, les familles endeuillées, les personnes mutilées, les enfants orphelins remercient nos parlementaires de penser à elles.