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Culture, Economie, Politique, société, Voix

Merci à la « Tribune de Genève »

Merci à la personne responsable de la rubrique Courrier de la Tribune de Genève d’avoir retenu et publié mon message -ci-dessus en capture d’écran- dans son édition papier de ce 23 avril.

La fermeture brutale, le 12 février dernier, du blog que j’ai tenu 9 ans durant sur la plateforme mise à disposition par ce même journal, a suscité toutes sortes de réactions, allant de la satisfaction à l’écoeurement.

Pour rappel, c’est au prétexte que la modération que j’exerçais sur mon blog ne répondait pas aux standards exigés qu’il a été décidé de le faire disparaître du Forum auquel je participais avec tant de plaisir.

Cette expérience m’aura appris que ce blog était plus suivi que je ne l’aurais pensé. Honneur ou pas, qu’il réjouisse ou peine, le résultat est là, accès au blog Voix de la TdG interdit

 

 

 

Culture, Economie, Politique, société, Voix

Un virus, des Professeurs … en paysage inconnu

Parmi les nombreux experts à s’exprimer sur le covid-19, difficile d’échapper à l’avis émis par le Professeur Raoult. Qu’à cela ne tienne, voici désormais celui du Professeur Montagnier.

La science en marche les valent bien.

Aux simples péquins que nous sommes de nous rallier à tel ou tel point de vue, le choix ne manque pas. Car hormis ces deux personnalités, d’autres spécialistes sont également invités à donner leur avis sur le sujet.

S’en remettre à tel ou tel ne relève sans doute que de valeurs partagées ou de foi accordée ou des deux.

Mais derrière autant de connaisseurs se profilent des options. Par exemple celle pour les vaccins qu’au nom de toutes sortes d’arguments, on cautionne ou rejette.

La lutte, alors, s’engage au plan politique.

Relayée par autant de médias, elle affiche ses tenants de certitudes, au bon peuple de s’y retrouver. Pour autant qu’il en ait l’envie.

Car ajoutés à cela les grands méchants qui profitent d’installer en douce ou pas même, leur mode de surveillance de la planète, ce bon peuple a de quoi faire!

Ainsi va chaque événement qu’il se vit selon les sensibilités. En voici un aperçu un peu autre pour qui aurait accès à l’article et à ses splendides photos.

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Postures, le virus tombera-t-il le masque un jour?

La crise qui nous frappe depuis que sévit la pandémie liée au Covid-19 démultiplie les réactions des un(e)s et des autres.

Et les réseaux sociaux s’en font les caisses de résonance.

Spécialistes et experts dont les avis sont relayés, malades atteint(e)s qui témoignent, proches d’autres qui en ont été victimes, la liste est longue de ce qui se partage.

Nos émotions, notre besoin de comprendre s’étalent alors que l’inconnu et le flou semblent plutôt régner en maîtres absolus.

Tel(le) centenaire ou quasi centenaire vainc le virus, tel(le) jeune en meurt, allez savoir comment opère celui qu’on traque et qui confine la presque totalité du monde?

Aussi, pointer du doigt les responsabilités, les manquements, bien sûr qu’on peut s’y consacrer. Tout comme louer les engagements et les efforts consentis par autant d’anonymes, de personnalités ou d’institutions.

Il n’en demeure pas moins que l’humilité à observer face à ce qui dépasse encore l’entendement serait bienvenu.

Qu’autant de postures affichées ne se révèlent, un jour, impostures, l’avenir le dira-t-il? Masquer ne se pratique pas qu’en périodes de pandémies.

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Covid-19, l’OMS en ligne de mire

L’OMS serait sous le feu des critiques, nous apprend cet article du journal « Le Monde ». Accusée de s’être soumise aux pressions qu’aurait exercée sur elle la Chine, la voici en ligne de mire.

Ce ne serait pas la première fois, explique tel ou telle collaborateur ou collaboratrice.

Le fait est que l’Organisation Mondiale de la Santé n’a aucun pouvoir coercitif sur les gouvernements auxquels incombe la gestion de la santé de leurs pays respectifs.

Raison pour laquelle chacun d’entre eux a administré ses propres mesures et s’est aussi rappelé qu’il avait des frontières.

Or -et cela n’a jamais manqué d’être rappelé- les virus, en l’occurrence celui du COVID-19, n’ont pas attendu que des barrières se dressent entre pays pour les franchir allègrement.

Ce qui confère sa dimension politique et nationale à la gestion de la crise qui frappe la planète mais à de très diverses manières, la carte illustrant ce sujet nous le démontre.

Car si les frontières ont été rétablies entre les pays, c’est bien parce que leur gestion de la crise a différé. On ne voulait donc pas subir les effets des unes ou des autres chez soi.

Comme quoi, la mondialisation ne se conçoit que pour le profit à en tirer. Pour le reste, chacun pour soi et tous pour accuser l’autre de ses méfaits.

Mieux, rendre responsable une organisation internationale qui n’a aucun pouvoir autre que coordinateur est se défausser de manière aussi aisée que malvenue.

Sauf à considérer que coordination équivaut à coercition.

Or jusqu’à nouvel avis, les mots devraient encore avoir un sens, même si, on le sait de longue date, celui-ci est sans cesse mis à mal.

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Covid-19, la science à vue, la politique en marche

Plus besoin de présenter celui qui fait tant parler de lui, le Professeur Didier Raoult. Quasi dieu pour certains, il en laisse d’autres dans le doute.

Cela peut se concevoir à l’écouter, en son temps, nous expliquer qu’« il y a trois Chinois qui meurent, ça fait une alerte mondiale »…

Bien. Après tout, c’est un point de vue, il lui appartient. Malheureusement, depuis qu’il l’a énoncé, les morts se comptent par dizaines de milliers partout dans le monde.

L’erreur est certes humaine.

Mais ajoutée aux appréciations de la situation qui varient au gré de découvertes, les politiques avancent déjà de prolonger le confinement des plus de 65 ans.

Or selon les déclarations entendues hier au 19:30 de la RTS, la catégorie de la population la plus exposée au Covid-19 serait celle des obèses.

Lorsqu’on sera fixé -si faire se peut- sur qui est le plus vulnérable et qui le moins, peut-être saura-t-on enfin protéger qui doit l’être en priorité.

Qu’on explique le flou pas même artistique qui entoure autant de déclarations péremptoires, sitôt remisées pour d’autres, comme celui d’une science sans cesse en mouvement est une manière.

Mais lorsqu’elle sert de référence aux mesures prises pour les populations, alors on est dans le plus pur et injuste arbitraire.

Et rien de tel pour alimenter une révolte qui, elle, risque de causer quelques dommages que le virus contre lequel on lutte ne véhiculait sans doute pas.

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Covid-19, un couvent endeuillé

En cette veille de Pâques, je souhaite partager avec vous un article qui m’a émue. Je ne suis pas catholique, je suis ce qu’on appelait et appelle peut-être toujours en France, une parpaillote.

Ce terme de parpaillot, on en attribuerait l’origine à un dénommé Jean-Perrin Parpaille d’Avignon, devenu l’un des chefs de file du protestantisme et qui fut décapité en 1562 à Avignon.

Cela pour dire que si cet article dont voici le lien m’a touchée, ce n’est pas pour ce qu’il véhiculerait de dogmatique. Non,  c’est pour la manière sobre avec laquelle est racontée la triste histoire de Frères Capucins.

De onze qu’ils étaient jusqu’à la fin de ce mois de mars, ils ne sont désormais plus que six. Cinq d’entre eux ont succombé au coronavirus. Et lire, par exemple,  ce que l’un de ces Frères rapporte de l’un des disparus en dit long sur le monde dans lequel on vit:

Discret et solitaire, Armand parlait peu. La mélancolie qui voilait parfois son regard puisait sa source dans une expérience douloureuse vécue en Ethiopie, un pays où il fut missionnaire durant la grande famine des années 1980.

« Il s’était vu interdire de distribuer de l’aide alimentaire, raconte Hubert. La famine, on le sait, est une arme de guerre. Il voyait les gens mourir de faim sans pouvoir rien faire. Ça l’a durablement marqué. Il en a gardé une faille, une fragilité. » Jusqu’à la fin, frère Armand se tenait informé des conflits oubliés, et priait pour la paix.

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Beautés humaines

« Abandonner la petite et facile critique des défauts pour la grande et féconde critique des beautés ». C’est à François-René de Chateaubriand -dont la tombe figure en illustration de ce sujet- que l’on doit cette citation.

En ces temps de crise liée au coronavirus, pas un jour ne passe sans que ne fleurissent, sur les réseaux sociaux, autant de remarques émises par de (très) savantes personnes qui, elles, ne s’y laisseraient pas prendre.

A quoi?

Au piège dans lequel nos gouvernant(e)s voudraient nous entraîner si ce n’est déjà fait. Oui, parce que nous serions manipulé(e)s. Et pour qui ne l’aurait pas encore réalisé, il serait grand temps d’ouvrir les yeux.

Sur quoi, au juste?

L’abus, la prise en otage, le profit, la mise en place d’un monde on-ne-vous-dit-pas-lequel et j’en passe.

Pendant ce temps-là, des gestes admirables de grandeur entourent autant de maux causés par un virus contre lequel luttent en permanence des êtres au mieux et au plus profond d’elles-mêmes et d’eux-mêmes.

Qu’ils en soient honorés, qu’à jamais, leurs efforts soient gravés dans les mémoires!

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COVID-19, en Russie comme ailleurs

Un ami m’a demandé, hier, ce qu’il en était du coronavirus en Russie.

Que répondre sinon qu’à la lecture de ce qui circule comme informations, la situation ne diffère pas vraiment de celle que nous vivons un peu partout en Occident et ailleurs dans le monde.

A savoir qu’on informe de ce qu’il en est de ce virus, de son mode rapide de transmission et des mesures à prendre pour le combattre.

De ce que je tiens d’une amie moscovite, la capitale de ce vaste pays est évidemment plus touchée que ses régions encore relativement épargnées.

Ce qui paraît logique vu la concentration humaine que l’on trouve à Moscou.

Plus de 13 millions d’habitants y vivent, autant dire qu’avec une telle densité de population, cette mégapole est particulièrement exposée.

Inutile de dire que, tout comme chez nous, les polémiques vont bon train en Russie quant à l’instrumentatlisation qui serait faite de la pandémie.

Certains points de vue émis là-bas sont, comme il se doit, repris dans nombre de grands médias étrangers qui ne ménagent pas leur peine pour épingler le Kremlin.

Rien de très nouveau et libre à chacune et à chacun d’entre nous d’imaginer être informé sans propagande  d’où qu’elle provienne.

Car la Russie ne se distingue pas du reste du monde qui compte autant d’avis convergents et divergents émis sur la pandémie qui frappe la planète.

Que certains de ces avis soient mis en avant plutôt que d’autres relève, tout comme chez nous, de choix opérés par qui en a le pouvoir.

Rien de plus courant qui ne distingue donc pas la Russie de l’Occident.

Aussi bien, si arrestation il y a en Russie d’activistes anti-Kremlin, y en a-t-il autant ailleurs, dans nos démocraties où il arrive aussi à la liberté de se résumer à celle de se taire.

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Un mal réel

Instrumentalisation de la crise du Covid-19 ou pas, les ravages causés par ce virus, les personnes qui les subissent de plein fouet en témoignent et en témoigneront.

Aussi bien, se rappeler que ce mal est réel et qu’il cause des dégâts tout aussi réels n’est pas vain.

A l’évidences, les autres dommages qu’entraînent les mesures drastiques prises par les gouvernements pour tenter d’enrayer la progression du virus au sein des populations ne sont-ils pas à minimiser.

De loin pas!

Car apparaît de manière cruelle comment une politique a décimé nombre de professions, nombre d’emplois, nombre de postes en tous genres occupés jusque là.

Et bien sûr que celles et ceux qui en ont fait les frais n’ont eu, le plus souvent que le choix de s’y résigner. La crise induite par le Covid-19 redessinera-t-elle le profil de nos sociétés, peut-être.

Mais de manière non encore déterminée tant le virus touche tout le monde, élues et élus compris(e)s.

 

 

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Covid-19, masques, soins intensifs…

Sur un réseau social bien connu, voici ce qu’on trouve partagé.

En premier lieu, une vidéo dont on ignore qui l’a tournée. Y figure, certes, indiquée sur le lien, l’identité de celui qui l’a partagée mais pour le reste, on ne doit faire confiance qu’à ce que l’on y découvre, entre autre la date à laquelle elle a été tournée et qui est bien mise en vue pour être filmée.

Cette vidéo, pour qui n’aurait pas accès au lien, montre un atelier où sont confectionnés ces fameux masques de protection qu’on recommande de porter pour éviter la propagation du coronavirus.

A voir dans quelles conditions sont fabriqués ces masques, inutile de dire qu’on va sans doute hésiter à en porter. Mais, qui sait si, ensuite, il ne sont pas peut-être désinfectés avant d’être empilés dans les boîtes qui seront remises à qui de droit?

Un autre post explique les conditions extrêmement difficiles dans lesquelles sont placés les malades intubés et les séquelles durables qu’ils auront à subir une fois cette épreuve dépassée. Serait-ce la raison pour laquelle cette autre vidéo est partagée sur ce même réseau social bien connu? Question de montrer ce à quoi échappera ce quasi octogénaire?

A l’évidence, la séquence proposée par France2 est éprouvante