La guerre, certains l’ont connue dès leurs plus jeunes années.
D’autres ne sauront jamais à quoi elle ressemble sinon aux images qu’ils en découvrent ici ou là ou au gré de récits qu’on leur en rapporte.
A partir de là, juger, même si nombre de celles et ceux qui appartiennent à cette seconde catégorie ne s’en privent pas, juger reste aisé.
Chaque camp a ses raisons très valables de s’attaquer à l’autre, les compte-rendus qui nous sont livrés de combats par l’une ou l’autre des factions en place en témoignent.
Pour ce qui concerne le conflit armé qui ensanglante le Haut-Karabagh et qui aurait dû s’arrêter après le cessez-le-feu signé à Moscou par les belligérants, on l’a vu, il se poursuit.
Et quand vous apprenez la mort au combat d’un étudiant de l’Université française d’Arménie, UFAR, pour laquelle vous avez été nommée juré d’un concours nommé « Premier prix de l’espoir francophone », vous n’avez que les yeux pour pleurer.
Toutes mes condoléances et mes pensées à sa famille et à ses proches.
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