Sur mon blog http://voix.blog.tdg.ch/, un commentaire a été déposé par Philippe Brennetot, qui se conclut par des terme qui choquent. Dans quel monde sommes nous ?Quand un jour la vie bascule… On compte de 85 000 à 100 000 SDF en France. La rue devient le couloir de la mort. La mort qui sévit dans la rue n’est pas toujours celle de faits d’armes ou d’agressions. Lorsque le crime en est absent, c’est que le mal y est plus diffus. Personne n’est à l’abri du pouvoir qui s’exerce soudain sur lui et le projette nulle part. Et ce triste trajet qui finit dans la rue est silencieux et sans éclat. On en parle, certes et bien des associations ou autres fondations y réagissent. Mais que de dégâts et de ravages causés par ces licenciements et ces abus qui condamnent au déclin de la personne! La rue n’est pas une fin en soi mais quand rien ne permet plus d’y échapper, la mort qui s’y installe est aussi condamnable que celle qui se trouve à portée de fusil ou d’arme blanche. 14:53 Ecrit par Hélène Richard-Favre dans Actualités, Existence, Pouvoirs | Lien permanent |Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : sdf, associations, fondation abbé pierre,rue, mort, sans toit, licenciements abusifs | del.icio.us | | Digg | Facebook
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