Qui ne serait triste de ce qui se passe? Une guerre est toujours effroyable.
Tout autant le parti pris avec lequel nos médias ont commenté ce qui s’est d’abord appelé « crise ukrainienne » en 2014, avant de devenir la guerre fratricide du Donbass.
Plus de 350 sujets de mon blog en ont traité.
La violence sévit toujours dans le Donbass. En apprenez-vous quelque chose de la part de vos médias de référence?
En 2014, je suis allée en Crimée pour me porter au secours d’un ami russe hospitalisé après avoir été tabassé et délesté de tous ses biens par des bandes de voyous qui ne parlaient pas russe.
Trop faible et démuni, sa famille étant dans l’impossibilité de lui venir en aide, je suis partie de Genève pour le ramener à Moscou.
Pourquoi vous dire cela?
Parce que je suis affligée de la partialité de nos médias qui ont façonné depuis des années l’opinion occidentale pour la rendre hostile à la Russie.
Cet ami, hélas décédé depuis lors, savait faire la part des choses. Comme nombre de ses compatriotes, d’ailleurs! Alors, de quoi se mêlent tant d’ignorants donneurs de leçons?