Browsing Category

Economie

Culture, Economie, Histoire, Politique, société, Voix

Ce Kremlin qui tremblerait face à Navalny…

Vous le savez, ce blog a été de manière chronique et répétitive, perçu comme antenne du Kremlin ou presque. Enfin, il y a aussi eu -et je les en remercie- des lecteurs et des lectrices capables de faire la part des choses mais surtout, de savoir lire la teneur d’un propos.

Il semble que cela doive de plus en plus être relevé tant on observe comment et pour toutes sortes de raisons, on préfère tordre un énoncé dans le sens qu’on veut lui donner et qu’il n’a pas. Ainsi en est-il aussi de celui dont tant de nos médias nous racontent le sort adverse, je veux parler ici d’Alexeï Navalny.

Si je lui souhaite, ici, un très prompt rétablissement dans les meilleures conditions qui soient, je tiens tout autant à rappeler que ce Monsieur sans cesse présenté par nos élites politico-médiatiques comme « le principal opposant » du Président russe, ne l’est tout simplement que par leur seule lecture.

Navalny ne pèse pas très lourd comme « adversaire » de Vladimir Poutine.

Ses supporters ne représentent pas même, en pourcentage, un chiffre qui dépasserait celui des cinq doigts d’une main. Qu’à cela ne tienne, nos médias alimentent le mythe du « principal opposant » qui ferait trembler le Kremlin. A tel point que s’en débarrasser serait devenu un objectif prioritaire.

Est-ce qu’au moment où la Biélorussie et son Président à la légitimité contestée sont en ligne de mire, empoisonner Alexeï Navalny aurait un intérêt? Celui de la stratégie de diversion? Les divers expert(e)s invité(e)s de nos médias auront sans doute une réponse qui nous rappellera, souhaitons-le, à la raison.

Car enfin, il semble bien que cette formule consacrée et répétitive à souhait de « principal opposant » à Vladimir Poutine doive entrer dans les cerveaux occidentaux pour bien leur faire comprendre que cet homme, à défaut d’être une figure marquante de la vie politique russe, en est surtout sa cible par l’acharnement dont il serait victime.

Alexeï Navalny a désormais été transféré en Allemagne pour y être soigné.

C’est une bonne chose pour lui, pour les siens et pour toutes celles et ceux qui auraient suspecté la médecine russe d’être à la botte du Maître. Puisse son « principal opposant » se rétablir dans les meilleures conditions qui soient, c’est le voeux que j’émets ici. Mais aussi, qu’un jour enfin, l’information délivrée sur ce vaste pays qu’est la Russie soit moins orientée.

Ce serait dans l’intérêt général mais qui s’en soucie encore est une autre question…

Culture, Economie, Politique, société, Voix

COVID-19, Essai de 10e synthèse, interview

Le 4 avril dernier avait été proposée sur ce blog l’interview du créateur d’un site internet en relation avec ce virus qui tient le monde en alerte ou en otage, à choix.

Pour cet essai de 10e synthèse, je vous propose un nouvel entretien avec Olivier JUNOD dont le site s’est, depuis lors, enrichi de diverses réflexions, opinions émises en relation avec toutes sortes d’articles indiqués en lien.

Olivier JUNOD bonjour! Quel est votre sentiment sur l’évolution de cette crise générée par l’apparition du coronavirus qui n’en finit pas de faire des vagues à défaut de nous confronter à la deuxième qui nous est annoncée depuis quelque temps déjà?

Olivier JUNOD:  Bonjour Hélène, j’ai l’impression que cela continue comme cela a commencé. Impossible de trouver une vraie logique dans les décisions prises, cacophonie générale… par exemple, comment comprendre que si ce Covid est réellement dangereux, les lieux de rassemblement ne pouvant garantir une distance sociale comme les discothèques aient ouvert à nouveau? Que les plages soient bondées? Que des rassemblements en dessous de mille personnes soient autorisés?

Il y a eu un énorme effort collectif lorsqu’on a fermé les commerces et mis l’industrie en veilleuse, d’une manière générale, afin d’endiguer le virus. Personnellement, je n’ai jamais pensé que cela ait été nécessaire mais passons, on l’a quand même fait, mettant au passage des milliers de gens dans des situations précaires: au niveau financier (les dégâts sont encore inconnus), moral, social. Puis, dès l’ouverture des commerces, on oublie presque tout, comme si le virus n’avait jamais existé.

Bien sûr, je comprends ce désir de vivre, qui a été en berne durant deux mois. Mais pourquoi reprendre sans précautions? Est-ce un aveu, qui montre que le Covid n’était finalement pas grand-chose et que l’on a fait beaucoup de bruit pour rien? Pour moi, c’est un mystère. En fait, tout est question de logique: soit le virus est dangereux, et il faut continuer avec des gestes barrières partout et pour tous, c’est le minimum qui me paraît sensé; ou alors tout cela est fantaisiste, et on peut arrêter ces simagrées.

– Comment vous situez-vous par rapport aux diverses prises de position qui s’affichent ici et là?

– Je n’adhère pas aux diverses thèses complotistes, mais il faut avouer que je comprends parfaitement ceux qui pourraient y croire. Je dois dire que tant de choses paraissent nébuleuses que, malgré tout, j’ai perdu toute confiance en l’appareil étatique.

– Quel avenir souhaitez-vous à votre site?

– Mon site n’est pas important. Par contre, si l’on veut être prêt pour la prochaine pandémie, il faut revoir beaucoup de choses. Je pense que l’armée a un rôle à jouer. Et, évidemment, si l’une ou l’autre des solutions que je propose pouvaient voir le jour, cela m’enchanterait… Ceci dit, je continuerai à développer mon site si certaines informations me paraissent pertinentes. Et je pense qu’il y aura encore fort à faire… Dernièrement, je m’en suis pris aux fonctionnaires, qui semblent plus fragiles que les (autres) travailleurs, puisqu’ils ont bénéficié de conditions que n’ont pas eu les autres. Je pense que cela doit être mentionné.

– Pensez-vous que le sens critique a encore une chance d’être pris en compte?

– Je vois que les gens ne sont pas dupes. Beaucoup comprennent le manque de logique, les décisions qui sont ensuite contredites, des tas de points non élucidés. Le sens critique est donc intact, après la période de peur qu’il y a eu, et qui a été très bien entretenue par les médias, qui répétaient en boucle les mêmes informations sans intérêt. Par exemple, on parle aujourd’hui de remontée des cas, mais quel média pointerait le fait que cela est dû au nombre de tests bien supérieur qu’auparavant? Il vaut mieux regarder le nombre de décès, qui reste très faible à l’échelle du pays. Mais les médias en parlent beaucoup moins. Donc, les gens ont compris le jeu des médias, et il y a beaucoup de déception – je pense que les gens se sentent bernés, voire manipulés.

Je m’autorise à ajouter que mon site permet à tous d’y trouver des liens intéressants, que l’on soit persuadé que tout cela n’est que conspiration, ou que l’on ait un esprit, disons, plus terre-à-terre. J’apprécie beaucoup que l’on me fasse connaître des liens que je ne connaissais pas, ou tout ce qui peut faire avancer le site.

– Merci, Olivier! Et je rappelle, ici encore, le lien à votre site.

Economie, Politique, société, Voix

Pays cobayes, la Fondation Gates à l’oeuvre

Ce qu’on voit défiler sur les réseaux sociaux peut, parfois, laisser perplexe. Mais quand c’est un journal tel que Le Monde qui publie un article  relatif au carnet de vaccination sous-cutané, là, on n’est plus dans le propos classé « complotiste » .

On est bel et bien dans une réalité qui concerne, pour l’instant trois pays. En effet, au Kenya, au Malawi et au Bangladesh sont menées, dans un premier temps, des enquêtes d’opinion sur le sujet.

L’invention de nanoparticules injectables sous la peau et détectables ensuite avec un smarphone modifié, on la doit à des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT).

Or, selon Le Monde, aussi bien l’invention que l’enquête sont financées par la Fondation Gates.

Les commentaires qui suivent l’article témoignent du sens critique de lecteurs qui, pour l’un, s’étonne que des chefs de gouvernement aimant leurs peuples respectifs acceptent de les voir soumis à pareilles enquêtes ou, pour un autre, s’interroge sur le fait qu’elles n’aient pas lieu aux Etats-Unis, par exemple.

On n’est plus dans la politique ici, et encore moins dans celle qui se soucierait de santé. Sauf à admettre qu’une fortune amassée par un individu lui dicte sa feuille de route et l’avenir des populations de la Terre entière.

Economie, Politique, société, Voix

Aventures covidiennes

En fin de semaine dernière, je rejoignais un ami dans un café-restaurant du canton de Genève.

A peine avais-je quitté la rue pour pénétrer sur la terrasse du lieu qu’une femme, serveuse, gérante ou les deux à la fois, rien ne permettait de le savoir, me dit « Le masque, Madame, il est obligatoire! » .

Et des clients de l’établissement de renchérir, « c’est écrit! »

Merci, je savais lire, j’avais juste pensé que les deux pas qui me séparaient de la table où je m’installerais pouvaient s’effectuer sans masque à ôter aussitôt mis.

Or non.

Cet après-midi, mieux encore. Je rejoignais, cette fois, une amie sur la terrasse d’un hôtel de Genève. A l’entrée, deux jeunes femmes se tenaient debout, immobiles. Je cherche du regard mon amie, voici les vigiles se diriger vers moi.

D’un ton courtois, toutefois, elles me prient de me soumettre à une prise de température. Je leur explique que je ne vais pas à l’intérieur mais resterai dehors. C’est pareil, me disent-elles en choeur.

Très bien, nous irions ailleurs.

Il devait tout de même bien exister des terrasses où notre température ne serait pas mesurée et où le masque ne serait pas exigé pour s’asseoir à une table, ou bien?

En effet, est-ce parce qu’un trottoir la traverse, cette terrasse, rien ne nous a été demandé. Ni masque, ni prise de température.

Une de mes relations est décédée des suites de ce virus, j’ai donc conscience de sa dangerosité. Mais tout autant de celle qui menace nos sociétés par l’incohérence et l’abus de mesures qui leur sont imposées.

Culture, Economie, Histoire, Politique, Religions, société, Voix

Liban, 2013-2020, histoire d’un drame

En pleine période virale, en pleine période de récession, Beyrouth s’enflamme. Les images de la ville dévastée nous ont toutes et tous choqué(e)s alors que la mort et la misère sont venues s’ajouter à celles déjà existantes.

Plusieurs médias relatent les faits dès le début, à savoir depuis le départ, en septembre 2013 du port géorgien de Batumi, d’un navire battant pavillon moldave, propriété d’un armateur russe vivant à Chypre, et avec à son bord un équipage pour majorité d’origine ukrainienne.

Ensuite, les versions divergent.

Le bateau devait se rendre avec sa cargaison de nitrate d’ammonium au Mozambique, ce que ce pays dément. Et puis, après avoir fait escale en Grèce, l’équipage du bateau aurait reçu ordre de la part de son propriétaire, de se rendre à Beyrouth pour y récupérer une cargaison supplémentaire.

Il s’agissait de rentabiliser le voyage, raison pour laquelle aurait dû être livré, depuis le Liban, du matériel de chantier à la Jordanie mais le bateau a été retenu au port de Beyrouth en novembre 2013.

C’est alors que la responsabilité de diverses instances libanaises sont en jeu qui se renvoient toutes la balle. Le fait est que seize personnes auraient été arrêtées dans le cadre de l’enquête ouverte après l’explosion qui a ravagé le port de Beyrouth et tant d’autres quartiers de la ville.

S’agissant de l’explosion, elle pourrait être due à des travaux de soudure effectués dans un hangar où des fissures à colmater avaient été signalées. Ce hangar abritait, pour sa part, des feux d’artifices et était voisin de celui où était stocké le nitrate d’ammonium.

Ces faits sont rapportés de la même manière dans plusieurs médias, à quelques petites nuances près. Puissent les interprétations qui leur seront données ne pas glisser vers autant d’accusations à l’emporte-pièce, c’est tout ce que l’on souhaite vu la complexité de l’affaire.

Pour ma part, je ne puis que dire combien je pense à toutes celles et ceux qui portent le Liban au plus profond de leur coeur tandis que le destin le frappe sans relâche depuis des dizaines et des dizaines d’années.

Economie, Politique, société, Voix

Covid-19, une histoire belge?

En rire, en pleurer, en pleurer de rire? C’est vraiment l’histoire de l’arroseur arrosé qui se déroule là.

La Belgique, nombre d’entre nous l’ont appris, a classé trois cantons de la Suisse en zone rouge infréquentable pour ses ressortissant(e)s, Covid-19 oblige.

C’est qu’à force de ressasser journée faite le nombre de nouveaux cas testés positifs au virus, le résultat est là!

Que les citoyen(ne)s belges déjà présent(e)s en Suisse ou qui s’apprêtaient à s’y rendre se plaignent de la décision prise par leur gouvernement est leur droit le plus strict. Que nos autorités s’indignent, une tout autre question.

Parce qu’à prendre mesure sur mesure envers les populations dont elles seraient garantes de la santé, au prétexte que le danger est là, elles renvoient une image de leur zone d’influence prise au sérieux à l’étranger.

Venir s’en plaindre est plutôt malvenu quand elles ne cessent de se mobiliser pour alerter de risques encourus à ne pas protéger les leurs!

« Gouverner c’est prévoir », dit la maxime, même les conséquences de mesures prises entre soi.

Aux élu(e)s suisses et belges de s’arranger entre eux. Pendant ce temps et une fois encore, ce sont les citoyen(ne)s lambada qui font les frais d’autant de manœuvres politiques.

Economie, Politique, société, Voix

COvid-19, essai de neuvième synthèse

Que dire encore de ce virus sinon que les mesures politiques adoptées pour le contenir à défaut de le vaincre, sont suivies, nous répète-t-on souvent alors qu’elles semblent plutôt diviser.

La Présidente de la Confédération helvétique, dans une interview qu’elle a accordée à la Tribune de Genève, affiche sa satisfaction quant à la manière avec laquelle ses collègues et elle ont pris en main la situation.

Sont mis en avant les bons points et il y en a, bien sûr. Mais reconnaître le nombre de propos contradictoires tenus, ne serait-ce qu’au sujet du masque eût été bienvenu.

D’après les commentaires déposés sous l’article, notre élue remporte un franc succès. Et qui se risque à la moindre remarque négative se voit renvoyé dans les cordes. Or si le Conseil Fédéral a donné une ligne de conduite, celle-ci n’aura malgré tout pas été sans dégâts collatéraux.

Nul n’est parfait, la sagesse le rappelle.  Il n’en demeure pas moins que l’on ne peut ignorer les bouleversements considérables que l’approche politique donnée à ce virus a déjà entraînés.

Et nous ne sommes qu’au début de ce qui se profile de dégâts en tous genres.

Economie, Politique, société, Voix

Covid-19, assurez la quarantaine!

A lire ce qui est attendu de qui doit se mettre en quarantaine, on se demande si les personnes qui ont décidé des consignes à respecter ont bien conscience de certaines réalités.

En effet, apprendre que « Si un seul membre d’une famille a voyagé dans une zone à risque, il doit s’installer seul dans une chambre, porte fermée (…) et utiliser sa propre salle de bains et ses articles ménagers. » on reste vraiment perplexe.

Combien de familles disposent-elles d’un nombre de salles de bains suffisant qu’il offre la possibilité à l’un de ses membres d’user de la sienne propre?

On croit rêver!

Mais non, il semble que dans l’esprit de qui a tracé cette feuille de route, toutes les familles dont un des membres serait placé en quarantaine auront de quoi lui assurer séjour en chambre individuelle et salle d’eau privative!

Et si seulement on ne comptait là qu’une seule des incongruités imposées pour lutter contre un virus aux vagues successives déjà pressenties? Mais non, elles s’ajoutent les unes aux autres.

Pendant ce temps-là, on s’étonne que les gens s’agacent, s’irritent, voire se rebellent.

Quand autant de consignes sont émises qui se heurtent à des réalités qu’on néglige comme, par exemple, celle de l’absence d’hygiène en lien avec le port du masque mal porté, quel sens ont-elles encore?

Sauf à être admises sans discussion, elles ne peuvent que faire réagir.

Car c’’est à la déstabilisation de nos sociétés dont les repères s’effondrent que nous faisons désormais face et non plus à un virus dont les explications qui nous en sont livrées sont plus qu'(em)brouillées.

Rien d’étonnant à ce que la tension sociale vole la vedette à la « distanciation sociale »!

Culture, Economie, Politique, société, Voix

COVID-19, mise au point

Suite au commentaire particulièrement torve déposé sous le précédent sujet de ce blog et qui met en cause l’approche que je donne de la situation que nous vivons toutes et tous, une mise au point s’impose.

  1. Jamais je n’ai nié la présence et encore moins la violence du virus qui sévit de par le monde. Raison pour laquelle je me suis montrée si sensible à cette réalité sanitaire.
  2. Des cas fatals, à savoir la mort de personnes infectées, j’en connais. M’accuser, dès lors de « disqualifier systématiquement les mesures de protection portant sur le port du masque. » est aussi mensonger que malveillant.
  3. Emettre un avis critique sur la gestion d’une situation appelle à en débattre. Or non, on juge et on condamne sans rémission.

Cette manière de faire est illustratrice de la tension dans laquelle nous vivons toutes et tous.

Et cette tension, s’interroger sur ce qui l’a générée devrait nous mobiliser tant nous sommes toutes et tous concerné(e)s.

Parce que, d’une situation sanitaire, il a été fait un enjeu politique avec de graves conséquences aux plans économique, social, psychologique voire psychiatrique.

Cela a été exposé ici-même.

Dans ce cas, réfléchir ensemble plutôt que de s’accuser serait autrement plus constructif. Mais il semble que ce ne soit pas là le but recherché ou pis, que ce but soit déjà devenu hors d’atteinte.

Culture, Economie, Politique, société, Voix

La danse du masque

La ville de Genève organise des cours publics de danse. Ils sont gratuits et dureront tout l’été.

C’est merveilleux, la vie reprend se réjouit cette mère dont la fille est là, avec un partenaire à s’exercer au pas de l’une des danses affichées au programme dont la photo illustre ce sujet.

Bien sûr que c’est très encourageant de constater que pareilles activités sont offertes au plaisir de chacune et de chacun! Surtout après ces derniers mois pénibles rajoute cette maman.

Oui sauf que c’est dans ce contexte si réjouissant qu’à Genève, depuis ce vendredi 25 à 20 heures, le personnel de service dans la restauration s’est vu soumis au port du masque obligatoire.

Et que dès le 28 juillet prochain, le port du masque sera imposé à la clientèle de tous les commerces.

Dommage qu’aucun pas de danse ne s’entame entre serveurs et clients de restaurants ou entre acheteurs et vendeurs dans les magasins!

Dans les transports publics où le masque est de rigueur lui aussi, on peut concevoir que l’équilibre ne soit pas idéal pour se lancer dans un rock, une salsa ou autre.

Plus sérieusement, comment comprendre en quoi la proximité physique entre partenaires conviés par la Ville à danser soit moins risquée que celle qui ne rapproche jamais autant la clientèle d’un commerce ou d’un restaurant de qui la sert?

A moins d’y lire un couac entre stratégie adoptée par la ville et stratégie adoptée par l’Etat, déceler une cohérence à pareils choix politiques relève du défi.

Ou alors, exige une clé de lecture qui éviterait tout risque interprétatif voire complotiste….