Ce qu’il y a de quasi imparable, dans toute situation conflictuelle, c’est que vous trouverez toujours les uns accuser les autres de ce dont les autres accusent les uns. Viols, tortures, abjections en tous genres, n’importe quelle personne lucide sait que tels sont les tristes lots de la guerre.
Mais on doit montrer que ces actes sordides ne sont que d’un côté seulement. Que la brutalité et c’est un terme bien trop correct pour évoquer ce qui caractérise la guerre, n’est que celle de « l’ennemi ». Si vous avez remarqué, aucun acte criminel n’a jamais été imputé à l’Ukraine.
Les brûlés vifs de la maison des syndicats d’Odessa? Ce sont les Russes qui en sont responsables. Les innombrables enfants tués dans le Donbass depuis 2014, la faute aux Russes. Les écoles, hôpitaux, bâtiments civiles bombardés dans le Donbass, les Russes encore.
Vous avez compris qu’ils ont tout faux.
Plus encore, on détruit leur culture en brûlant les livres de leurs grands écrivains. En forçant leurs artistes à se déclarer contre la guerre. Tout cela, au nom de la démocratie. Quelle mascarade! Mais pourquoi s’en priver puisque ça rassemble? Les empêcheurs de tourner en rond n’ont qu’à bien se tenir!
Découvrez, en cliquant sur ce lien, comment a été traité ce journaliste, lauréat du Prix Pulitzer!
Peut-être qu’après cela, les plus obnubilés par les armes à fournir à l’Ukraine réaliseraient ce qu’il en est. Encore faudrait-il que ces nobles esprits accèdent à de telles informations. Merci au commentateur de ce blog qui nous l’a fournie!