Browsing Category

Voix

Culture, Economie, Politique, société, Voix

Covid-19, essai de cinquième synthèse

Le précédent sujet de ce blog consacré aux masques a suscité divers échanges sur un réseau social bien connu. C’est dans leur cadre qu’a été indiquée l’interview du Professeur Denis Rancourt.

Si vous ne l’avez pas encore visionnée, je vous y invite vivement.

Voici un homme posé qui nous parle d’études réalisées sur l’efficacité des masques et des gestes barrières mais pas seulement.

Il nous explique comment se propage le virus et pourquoi les mesures préconisées par la plupart des politiques de santé mises en place sont inadéquates.

Ce Professeur n’a rien du charlatan, rien du complotiste non plus et encore moins du gourou.

La vidéo dure un peu plus de 42 minutes, je vous recommande vraiment de la regarder en entier. Vous découvrirez un homme précis dans ses propos.

Et vous aurez le choix de méditer une approche qui allie rigueur intellectuelle et bon sens, deux dimensions plutôt rares à concilier.

Merci à la personne qui m’ a indiqué cet interview, elle se reconnaîtra.

Economie, Politique, société, Voix

Covid-19, le port obligatoire du masque en question

Le port du masque pour lutter contre le coronavirus s’impose de plus en plus dans divers pays et s’il est salué par nombre de personnes, il en laisse tout autant dans le doute.

Parce qu’elles ont en mémoire ce qui en a été dit au début de la crise devenue épidémie puis pandémie et qu’elles se souviennent que son usage exige de strictes règles d’hygiène.

Or à observer comment il est fait usage du masque, on reste plutôt perplexe et c’est un euphémisme!

En effet, le nombre de celles et de ceux qui l’enlèvent, le remettent, le réenlèvent et le remettent quand, entretemps, il n’est pas tombé par terre pour être aussitôt ramassé et remis, on a de quoi s’interroger.

Le désormais plus que célèbre Professseur Didier Pittet, appelé par Emmanuel Macron à présider la mission indépendante d’évaluation de la gestion de la crise du coronavirus, le Professeur donc a souvent insisté sur  l’importance de l’hygiène qu’implique le port du masque.

Qui s’en rappelle et même, qui s’en soucie?Très très peu de monde.

Alors l’imposer, en Suisse, dès le 6 juillet prochain dans les transports publics et, qui sait, bientôt aussi dans les grands magasins comme le fait déjà le canton de Vaud, est-ce vraiment une garantie de protection?

Ecoutons le Professeur genevois nous parler dudit masque et de son utilité pour qui et dans quelle situation et posons-nous alors les questions qui conviennent! La séquence date du 5 avril dernier.

En voici une autre, toute récente.

Car que le coronavirus n’ait pas disparu, sans doute. Mais que le port du masque soit rendu obligatoire dans autant d’espaces publics à titre de protection quand on sait comment il est porté, là non.

Car c’est l’illusion de protection que l’on donne et le risque de bien d’autres infections vu l’absence totale de rigueur observée pour son port.

Economie, Histoire, Politique, Religions, société, Voix

Ce 1er juillet, la Russie a voté

Ce 1er juillet, le peuple russe a été appelé à se prononcer dans le cadre d’un référendum visant à amender plusieurs articles de la Constitution.

Comme il se doit, cette consultation populaire a suscité nombre de commentaires et de réactions. Décriée ou saluée pour certains de ses aspects, une chose est sûre, elle a mobilisé l’opinion publique.

Et j’ai pu le constater de mes propres yeux tandis que l’occasion m’a été donnée d’assister durant la journée, au déroulement de ce scrutin à Genève.

Il s’est tenu dans l’un des bâtiments de la Mission permanente de la Fédération de Russie.

Les très nombreux bulletins de vote déposés dans l’urne en fin de journée attestaient d’une forte participation des citoyennes et des citoyens russes.

Autant dire que toutes et tous se sentent concerné(e)s, ce qui, en soi, est très positif.

Le résultat du dépouillement des « oui » et des « non » en réponse à la question de savoir si les amendements de la Constitution étaient acceptés ou pas ne manque déjà pas d’alimenter la controverse.

Laissons cela aux « spécialistes » et aux « experts », leur tâche ne consiste-t-elle pas précisément en cela, expliquer à tort ou à raison quand ce n’est pas à tort et à travers?

Culture, société, Voix

Mort d’un écrivain, vie à son oeuvre!

L’Espagne vient de perdre un de ses plus célèbres écrivains. Carlos Ruiz Zafon, 55 ans, s’est éteint ce 19 juin. Il serait décédé des suites de cette maladie que l’on peine parfois à nommer, le cancer.

Pourquoi, sinon par le côté fatal auquel ce mal est en général associé?

Avec ce départ -pour employer un terme lui aussi préféré à celui plus brutal de « mort »-, le monde des Lettres perd un être qui a donné toute sa valeur au livre, quel qu’il soit.

Ainsi s’exprime l’un des personnages de l’écrivain, « Chaque livre, chaque tome que tu vois, a une âme. L’âme de celui qui l’a écrit, et l’âme de ceux qui l’ont lu, ont vécu et ont rêvé avec lui ».

Tel est le destin à souhaiter à l’oeuvre de Carlos Ruiz Zafon, tout animée de lui et de celles et ceux qui s’y sont projeté(e)s et s’y projetteront encore!

Economie, Histoire, Politique, Religions, société, Voix

Où sont les féministes? Où, les défenseurs et défenderesses de droits humains?

Serait-il utopique d’attendre la moindre manifestation féministe en faveur de femmes égyptiennes enlevées de force par des groupes islamistes pour être converties?

Doit-on être, de préférence, sans appartenance religieuse quelconque pour imaginer être reconnue comme femme méritant un soutien?

Lisez cet article et vous réaliserez ce qu’endurent autant de victimes d’abus!

Nombre de chrétiens préférèrent quitter leur pays, l’Egypte, plutôt que de risquer le pire du fait de leur appartenance religieuse.

Mais dans nos contrées, qui s’en soucie quand, au contraire, tout est mis en oeuvre pour effacer les traces d’une religion dont on ne se lasse pas de dénoncer les dérives?

Il y en a, certes et il y en a eu.

De là à abandonner à leur sort autant de femmes dont si peu de médias se soucient et nous informent, il y a un pas qui a de longue date été franchi.

Comme quoi, certains droits humains sont plus médiatisables que d’autres.

On le savait mais le rappeler n’est jamais vain. Surtout à l’heure de mobilisations en tous genres qui n’ont de but que de vandaliser notre Histoire et notre patrimoine culturel.

Economie, Politique, société, Voix

Covid-19, essai de quatrième synthèse

La Tribune de Genève informe d’une plainte émise à l’encontre de deux médecins par la famille d’une jeune femme morte à 31 ans du coronavirus.

A-t-elle perdu la vie, faute de soins adéquats, la justice aura à trancher.

Les mesures sanitaires prises par les différents gouvernements des pays touchés par la Covid-19, ont eu de nombreuses conséquences aussi dramatiques que salutaires, on le sait.

Salutaires parce qu’elles auraient soi-disant épargné des vies, dramatiques par le nombre de celles qu’elles ont par contre négligées, oubliées quand elles ne les ont pas carrément détruites.

En voici, par exemple, de bien singulières, de ces conséquences.  Dans un hôtel de Kiev en Ukraine, des bébés alignés par dizaines, par centaines bientôt, attendent les parents qui les ont « commandés ».

Dans les précédents essais de synthèse en lien avec la Covid-19, auront été évoqués le sentiment d’incertitude qui domine nombre de personnes, le rôle de l’Etat qui serait à (re)définir, la sanctification ou la diabolisation de telle personnalité.

Dans ce quatrième essai, rien de tel mais la vie d’enfants en question.

Economie, Politique, société, Voix

Une pensée et bien davantage encore aux marins oubliés

Certes, on a une idée de ce qu’est le monde de la mer, celui des marins s’entend.

Mais mesure-t-on toujours combien de professions il compte, de nations il concerne, de trafic il génère, de pénibilité et de contraintes acceptées autant qu’imposées il implique?

Dans un article publié par Le Monde, on lit ce qu’endurent des dizaines de milliers de marins frappés par les mesures sanitaires prises pour lutter contre la Covid-19.

Et nombre d’entre eux se sentent à juste titre les grands oubliés de l’histoire.

Quand, en effet, des applaudissements ont commencé à retentir dans divers pays pour saluer l’engagement de qui était reconnu  indispensable à la vie quotidienne, les marins ne figuraient pas dans la liste.

Et pourtant, leur apport est aussi vital que celui des personnes remerciées chaque soir.

Vienne au plus tôt le temps où autant de ceux toujours bloqués ici ou là et privés de l’essentiel qui rend une vie moins rude, soient enfin entendus!

Car comme le rappelle le président de l’Association française des capitaines de navires, on a surtout parlé des touristes de bateaux de croisière et de l’équipage du « Charles-de-Gaulle », bien moins sinon pas du tout du reste de ceux qui naviguent.

société, Voix

Tyrannes, oui, le féminin de tyran existe et ici, évoqué au pluriel

Tyranne, avec un n ou deux, oui, le terme existe. Il n’aura donc pas à être créé par autant de revendicatrices d’égalité entre les sexes ou entre les genres comme on préfère dire aujourd’hui.

Tyrannes donc ces jeunes femmes qui ont torturé une des leurs.

C’est 20 Minutes qui nous apprend comment une jeune Kosovare, au prétexte qu’elle aurait dénoncé une de ses compatriotes auprès de l’autorité de protection de l’enfant et de l’adulte, aurait subi sa vengeance.

Ce qu’on lit dans l’article a de quoi faire pâlir certains hommes qui très souvent se retrouvent ciblés par les femmes qui leur reprochent leur violence et pis encore.

Mieux, quand on apprend que l’une de ces bourrelles, le terme existe aussi et n’aura pas non plus à être inventé par les défenderesses d’égalités entre hommes et femmes, quand on apprend donc que l’une d’elles est « assistante en soins et santé communautaire », on en reste un peu perplexe.

Que pareille dose de haine féminine s’exerce sur une autre femme est une réalité.

Elle demeure néanmoins bien souvent ignorée ou disons qu’elle risque de trouver moins de femmes pour la dénoncer, toutes affairées qu’elles sont le plus souvent avec les hommes…

Pour rappel, j’en avais parlé, ici entre autre. 

Economie, Politique, société, Voix

Covid-19, « vagues » bien vagues

Vous l’aurez constaté, il est souvent question de « deuxième vague » à propos de la Covid-19.

Après avoir sollicité le point de vue d’un médecin ORL, il en est ressorti que de « deuxième vague », il n’y avait pas. Nous étions toujours dans la première, même en Chine où l’on parle de nouveaux cas d’infection.

L’ avis de ce médecin se trouve d’ailleurs confirmé par celui d’Antoine Flahault, directeur de l’Institut de santé globale à l’Université de Genève interviewé par le journal  Le Temps 

Tout est dans la manière donc, celle de communiquer, comme on dit.

On serait néanmoins content de parvenir, un jour, à y voir clair, dans cette crise, épidémie ou pandémie, à choix. Car on y a goûté au flou et à ce sentiment diffus de peur qu’il engendre.

Que ce virus soit une réalité es indéniable. Que les citoyen(ne)s lambda soit considérés aptes à recevoir des informations dignes de ce nom contribuerait d’autant à s’en protéger et à lutter contre lui.

Culture, société, Voix

Un livre…

Ce 16 juin, la maison d’édition italienne qui a déjà publié mes deux premiers recueils de nouvelles en version bilingue italien-français, accueille sur son site le troisième, Novelle di nessuna parte /Nouvelles de nulle part 

Elisa Bonaldo, qui a traduit les deux précédents recueils, Novelle di Nessuno /Nouvelles de Personne et Novelle di niente / Nouvelles de rien a tenu à m’associer à son travail et je ne saurai jamais assez la remercier.

En effet, c’est le jour où les premières pressions ont commencé à viser mon blog, autrefois hébergé sur la plateforme de la Tribune de Genève, qu’a débuté entre nous une intense et enrichissante collaboration.

Et puis, l’Italie a commencé à être durement touchée par la Covid-19 et rien n’assurait plus que le livre projeté puisse paraître, il est paru.

C’est Sylvie Bleecks qui a réalisé l’illustration de couverture de ce recueil, c’est elle aussi qui a signé celles des deux précédentes éditions italiennes tout comme celles des deux éditions suisses, bilingues anglais-français.

Elisa, Sylvie, Barbara, Michelangelo, vous qui avez oeuvré à l’élaboration de ce troisième recueil de nouvelles, j’aimerais vous dire mon émotion, mon amitié et ma profonde reconnaissance.