Et voici à nouveau le monde culturel hexagonal sous tension. C’est que le 2 janvier prochain va sortir un livre consacré à une histoire d’amour qui n’en fut pas.
En bref, l’auteure y raconte une relation avec un écrivain dont les initiales sont G.M et que d’aucuns ont reconnues comme celles de Gabriel Matzneff.
Dans cette séquence télévisuelle, l’écrivain évoque nommément l’auteure du livre à paraître. Et raconte le nombre d’ouvrages qu’il a consacré à leur passion.
A l’écouter, on comprend que la jeune-fille est très éprise mais elle semble ne plus vraiment l’entendre ainsi.
La littérature n’a pas vocation à adouber toutes celles et ceux qui seraient hors la loi. Elle reconnaît des styles, elle les couronne de divers Prix.
Se pose une fois encore la question de savoir si « le style est l’homme-même » , comme le déclarait Buffon dont le propos a, par la suite subi toutes sortes de relectures.
Et si le style suffit à consacrer en dehors de tout autre jugement.
Une loi existe, cependant. S’applique-t-elle à toutes et à tous de la même façon, il semble que non tant courent encore de nombreux prédateurs.
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