Il a très souvent été question, sur ce blog, de la manière avec laquelle l’information était traitée par les médias dits mainstream.
De nombreux cas ont été cités où la rhétorique venait au secours de journalistes si soucieux d’informer. Une table ronde avait été organisée, d’ailleurs, autour de ce thème de la désinformation.
Admettre partis pris et arrangements avec la vérité des uns contre celle de autres serait sans doute plus juste que de faire croire au bon peuple que la morale serait le souci premier d’autant de journalistes ou de politicien(ne)s.
A cet égard, l’exemple de cet élu pris dans le collimateur médiatico-politique genevois est assez éloquent en la matière.
Si la démocratie consiste en luttes permanentes à mener pour faire valoir ses intérêts, dans ce cas, d’accord et à chacun(e) de mener son combat.
Mais venir nous parler de morale, de vérité ou autre conscience à éveiller, non, tout de même, n’abusons pas le public qui, d’ailleurs, ne se mobilise plus tant que cela pour élire qui le gouvernerait ou suivre qui l’informerait…
Or justement, laisser une société se détourner de la vie politique et médiatique au prétexte qu’elles seraient toutes pourries, tel est bien là le premier dommage à déplorer.
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