Le 26 juin 2015 aura marqué le retour de la décapitation en France.
On se rappelle dans quelles conditions Hervé Cornara a été exécuté puis comment son bourreau a posté sur les réseaux sociaux un selfie où il s’affichait avec la tête de sa victime.
Ce retour de la décapitation en France a pu être considéré par d’aucuns comme cas isolé. Comment parer autrement à un tel acte qu’en en limitant la portée?
Le fait est qu’il a marqué les consciences et n’a pas arrangé l’état de la France.
Avec l’échec cuisant de l’affaire des Mistral dont il est ici rendu compte*, la France a dévoilé ses préférences.
A minimiser l’impact du djihad sur son sol et à maximaliser la menace russe loin de ses frontières, le compte est bon.
Car c’est bel et bien depuis la crise ukrainienne dont tout le mal a été attribué à Moscou que Paris joue à perte.
Pendant ce temps-là, une nouvelle convocation en justice a ravivé le funeste souvenir du premier nouveau décapité de France:
http://www.ledauphine.com/france-monde/2015/08/14/condamne-pour-avoir-diffuse-une-photo-de-la-tete-decapitee-d-herve-cornara
* http://www.parismatch.com/Actu/Politique/Les-premiers-chomeurs-de-l-affaire-Mistral-809991
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