La tradition des bons voeux que l’on échange pour fêter l’an nouveau est belle et l’honorer n’implique en rien l’oubli ou pire encore, la négation de réalités difficiles.
On les espère toujours s’améliorer, comment autrement?
Dans ce sens, inutile de dire que toutes les situations qui mettent à l’épreuve et nous viennent à l’esprit sont concernées. Certes, on ne peut porter le poids des souffrances du monde sur ses épaules.
Le dicton est si connu qu’il en devient aussi aisé.
Il n’est pas interdit de penser à la désolation qui frappe tant de peuples et d’individus. À eux, que leur proposer sinon que le cynisme le plus absolu les épargne?
Les instants de grâce existent, qu’ils en soient bénéficiaires!