capture d’écran: huffingtonpost
Ce mercredi 25 janvier, le débat entre les deux candidats en lice pour le second tour de la primaire de gauche sera sans doute déterminant.
A plus d’un titre tant le PS est fragilisé et ses membres, en définitive, bien peu respectés. Le comportement de l’encore actuel Président de tous les Français, entre autres élites de gauche, a de quoi laisser perplexe.
Tantôt au théâtre parce qu’il l’avait promis à Michel Drucker de longue date, tantôt au Chili pour des raisons agendées sans doute aussi de longue date, François Hollande a déclaré qu’il n’irait pas voter ni au premier ni au second tour de cette primaire.
Soit.
Cela dit, certains ont retrouvé dans le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, ce que le Président bientôt sortant avait dit de Benoît Hamon. On peut le lire ci-dessus, dans la capture d’écran qui illustre ce sujet.
Le fait est que cet ancien Ministre de l’Education a remporté le premier tour de la primaire et n’entend pas perdre le second. Normal, il ne s’est pas présenté pour perdre. Mais face à lui, Manuel Valls n’entendra pas non plus s’en laisser conter.
Tout cela peut déboucher sur le meilleur ou sur le pire, en ce sens, cette primaire est loin d’être banale. Car son vainqueur aura, ensuite, à affronter ou composer avec un jeune premier qui ne veut rien savoir de ceux qui furent ses pairs:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2017/01/18/ps-fin-de-parti.html
Ce mutant* a peut-être le vent en poupe mais de là à lui confier l’exercice de la charge présidentielle, il y a un pas à projeter avant de le franchir.
* http://voix.blog.tdg.ch/archive/2017/01/17/quelle-france-voulons-nous.html
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