C’est la Tribune de Genève qui le révèle, ce qui ôte de facto du grain à moudre aux xénophobes ou autres nationalistes convaincus.
Cela dit, on se rappelle l’intervention d’une élue helvète qui avait estimé que « LA » Suisse n’existait pas. Il en avait été question ici. Dans ce cas, l’agresseur serait-il originaire d’un pays qui n’existe pas?
Pour l’heure et quoi qu’il en soit, l’homme est sous les verrous.
La violence qui s’exerce non seulement envers les femmes mais envers toute personne est une réalité.
A ce jour, aucune réponse idéale n’existe, nul ne l’ignore. Chacune et chacun y va de sa solution, de la plus radicale à la plus laxiste.
Est-ce là une raison de baisser les bras, bien sûr que non. Mais rien ne va de soi, sachant ce qu’implique toute modification de loi.
En attendant, on se réunit, on discute, dans le cadre de colloques ou autres réunions en tous genres.
Autant d’occasions d’exposer des points de vue qui déboucheront on non sur quelques nouvelles mesures à prendre, que « LA » Suisse existe ou pas.
Politique, société
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