Politique

Soumission?

Décidément, certaines parties de l’anatomie masculine semblent prisées pour définir ce que serait un chef d’Etat.
On se rappelle le pas de testicules, pas de cerveau d’Oliver Delamarche à propos d’Alexis Tsipras:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2015/07/20/pas-de-testicules-pas-de-cerveau.html
Voici que Michel Onfray évoque la testostérone du chef de guerre, hélas! -précise-t-il- argument électoral.
Dans un article paru sur le site du Point.fr, le philosophe dénonce l’attitude guerrière de l’Occident qui aurait tué des millions de musulmans et justifierait, selon lui, la réaction des concernés.
Or juste avant cela, le silence observé par notre élite journalistique et mondaine, intellectuelle et parisienne au sujet des agressions sexuelles de Cologne le fait estimer que nous vivrions déjà sous le régime de la soumission
En ceci, indique-t-il, il rejoindrait Michel Houellebecq.
Soit.
Mais à le lire, il semble difficile de saisir où se situe le philosophe.
Car la testostérone du chef de guerre, argument électoral, serait-elle une expression de ce régime de la soumission?
Etrange.
Mais apparemment à l’image d’autres contradictions, au regard du narcissisme égotiste et de l’hédonisme trivial dont il affuble l’occidental.
Doit-on le préciser, Michel Onfray ne s’y reconnaît pas. Non, il serait, lui, un homme d’éthique et de conviction:
http://www.lepoint.fr/chroniques/michel-onfray-houellebecq-a-raison-03-02-2016-2015101_2.php

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