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COVID-19

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Covid-19, essai de troisième synthèse

Il est des êtres qui, soudain, apparaissent dans votre vie et la bouleversent. Par tel ou tel aspect de la leur, par tel ou tel comportement, par tel ou tel geste ou action.

La valeur que prend alors pareille rencontre décuple selon l’émotion ressentie. Positive, elle en fera un miracle, négative, une malédiction.

Ainsi en va-t-il d’autant de personnalités que l’actualité propulse sur le devant de multiples scènes médiatiques.

Les voici divines pour les uns, diaboliques pour les autres, la juste mesure devenant vite impossible à évaluer tant les positions s’affirment aussitôt tranchées.

La crise en lien avec le virus qui a paralysé la quasi totalité de la planète nous en aura donné l’exemple avec Didier Raoult et Bill Gates pour ne citer que ces deux hommes.

Le premier sanctifié, le second diabolisé ou l’inverse, les internautes se démènent en partages sur les réseaux sociaux pour le démontrer.

La réalité de l’un et de l’autre, qui la connaît vraiment quand l’auréoler ou la maudire ne relève que de jugements, voire d’a priori?

Trouver à ces hommes qualités ou défauts est un jeu d’enfant!

Est-ce à ce genre d’occupation que nous devons nous réduire tandis que loin d’elles se prennent les véritables décisions en relation avec notre santé?

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Covid-19, essai de deuxième synthèse

Ici et là, commencent à s’énoncer les appréciations de la période que nous venons de traverser en relation avec un virus dont on espère bien, un jour, savoir si les effets ont été tels que ceux qui ont justifié les mesures sanitaires décrétées par nos gouvernements.

On trouve ainsi divers points de vue d’ordre général et plutôt philosophique mais autant d’autres témoignages de personnes qui ont été concernées au premier plan et mobilisées en permanence.

Le personnel hospitalier, par exemple, qui peine à se remettre de ce qui a constitué son quotidien.

Les nombreux autres travailleurs et travailleuses, acclamé(e)s  pour leur labeur  « essentiel à la nation » et aussitôt retombé(e)s dans l’oubli.

Certes, des primes ont été versées. Mais ensuite?

Ensuite, réfléchir à ce qu’est un Etat, à ce qu’est une société, à ce que sont les multiples professions et métiers qui s’y exercent, à ce qu’est l’industrie d’un pays, par exemple.

Car c’est bien là que le bât a beaucoup blessé.

Lorsque s’est affichée aux yeux de toutes et de tous, l’extrême dépendance à la Chine, pour ne parler que d’elle, dans laquelle nos gouvernements ont placés nos pays.

Au seul profit de bénéfices à engranger? Lesquels, on est en train de les apprécier…

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Covid-19, essai de première synthèse

A parler avec autant de personnes de ce qu’on a appelé crise, épidémie, pandémie, même sans qu’elles ne portent de jugement quelconque sur quiconque, domine un réel sentiment d’incertitude.

Parce qu’on aura tout lu, tout entendu, tout vu ou peut-être pas.

Le fait est que les témoignages qui ont été rendus publics de soignants, de patients qui ont vaincu le virus, de proches d’autres qui, au contraire, y ont succombé n’auront pas toujours permis d’y voir clair.

Certes, on peut apprécier le fait que la communauté scientifique et médicale elle-même n’ait pas été unanime sur le sujet.

Preuve en est la polémique qui se poursuit autour de l’usage controversé de l’hydroxychloroquine.

Jusqu’à découvrir, ce jour, les réserves émises par The Lancet au sujet de l’étude que la prestigieuse revue a pourtant publiée.

Même si on peut saluer cette réaction, elle risque bien d’alimenter d’autant les « complotistes »…

Admettre que l’on est exposé à la maladie et à la mort paraît de plus en plus difficile dans nos sociétés qui privilégient tellement la santé et la vie.

Sans parler du « jeunisme » qui encourage tant de monde à se refaire à peu près tout ce qui va exclure d’un âge physiquement révolu.

En l’occurrence et d’après ce qui l’emporte comme explication des mesures sanitaires prises, ce serait la surcharge des milieux hospitaliers qu’on aura voulu éviter.

L’argument a tellement été entendu que nombre de personnes ont préféré ne pas « déranger » les urgences.

Au point qu’après avoir recommandé aux populations de ne pas se déplacer à l’hôpital pour « rien », on les a ensuite appelées à s’y rendre plutôt que de courir le risque de rester sans soins.

Aléas de mesures prises et si bien comprises que d’aucun(e)s en seront mort(e)s

Paix à celles et ceux qui ont perdu la vie à cause de ce virus et/ou de sa gestion et que soient reconnu le courage de qui a lutté, de qui va lutter encore envers et contre tout ce qui s’est abattu sur sa route.

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Covid-19, la fermeture des écoles en question

Hier, dans le cadre du téléjournal de la Radio Télévision suisse (RTS), était invité l’épidémiologiste qui a conseillé nos autorités fédérales dans le cadre des décisions à prendre en relation avec la Covid-19.

Daniel Koch, d’inconnu du grand public qu’il était est devenu l’incontournable « Monsieur Coronavirus » tandis qu’il est apparu dans toutes les conférences de presse ou peu s’en faut.

Désormais retraité, hommage lui a été rendu par le Conseil Fédéral.

De l’interview qu’il a accordée hier à la RTS, un point laisse perplexe. En effet, il est apparu qu’un des conseils qu’il a donnés aux autorités fédérales n’ait pas été suivi.

Il a dit ne pas avoir recommandé la fermeture des écoles.

Or toutes ont été fermées, on le sait. Cette divergence de vue entre Daniel Koch et le Conseil Fédéral, l’épidémiologiste la commente ainsi:

« Seulement sur le plan épidémiologique, c’était pas une nécessité. Mais sur le plan de faire comprendre la situation, c’était bien qu’on l’a fait ».

A l’évidence, le politique l’a emporté sur la médecine.

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Covid-19, une application de traçage et quelques questions

Et voici que le ministre de la santé suisse explique la suite prévue dans le cadre de ce qu’on a appelé crise, épidémie ou pandémie liée au Covid-19.

Il s’agit de suivre à la trace des « volontaires » est-il bien précisé, qui téléchargeraient une application de traçage, dénommée SwissCovid.

Celle-ci a été développée par l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) et l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zürich (EPFZ).

Fort bien.

Donc comme l’opération est sensible, nous dit-on encore, on va y mettre des « garde-fous ». Ah la bonne heur, ainsi le Parlement aura-t-il à se prononcer sur une base légale qui repose sur une modification de la loi sur les épidémies. 

Et l’article de nous préciser encore que les deux chambres devraient se pencher sur le projet lors de la session de juin déjà. Ce qui laisse espérer un démarrage de l’application à l’été. «Mais des essais pilotes sont déjà menés», précise Alain Berset.

Notre santé avant tout?

A l’évidence pour qui a mis en place un tel mode d’approche de la maladie. Or entre les personnes qui se montrent favorables au traçage numérique et les autres, n’existent pas que des adeptes de « théories du complot »!

Il se trouve encore des êtres qui se situent entre les extrêmes.

Puissent-ils être entendus tant la question posée au ministre de la santé et la réponse qu’il y apporte laisseraient presque entendre que le téléchargement de l’application devienne, un jour, obligatoire:

Miser sur une base volontaire pour télécharger l’application, n’est-ce pas prendre le risque que trop peu de personnes s’inscrivent et qu’il faille la rendre obligatoire par la suite? Alain Berset ne le pense pas.

A suivre…

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Covid-19, ce 11 mai à venir…

Ce qu’on peut dire dans le cadre de ce que d’aucuns appellent « épidémie »  quand d’autres lui préfèrent le terme de « pandémie », c’est qu’à ce niveau-là déjà domine la confusion.

Le reste suit. On a un virus, on dit beaucoup de choses qui « évoluent au gré de ce qu’on en apprend », on applique des mesures et un protocole de traitement.

Tout cela entouré de polémiques entre scientifiques, entre politiques et plus encore.

Quant au bon peuple, il suit, renonce ou tient à se faire entendre. A cet égard, les parlementaires le représenteraient sauf qu’en état d’urgence, ils n’ont pas droit à la parole.

Cela dit, nul n’ignore comment sont approché(e)s les élu(e)s par des entreprises ou des particuliers. Certes, en toute légalité, parfois à ce qui s’y apparente.

Il n’en demeure pas moins qu’une fois lié par un « cadeau », c’est une part de liberté qu’on cède.

Donc allez savoir ce qui attend les citoyen(ne)s…

Dès le 11 mai en Suisse, par exemple, la clientèle qui se réjouirait d’aller au restaurant, devra décliner son identité et donner son numéro de téléphone.

L’a-t-elle voulu? Et le souhaitera-t-elle?

Les avis sont évidemment partagés. Mais la question reste en suspens car il n’incomberait pas à chaque restaurateur d’exiger pareille demande à ses hôtes, selon le président de Gastrosuisse.

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Covid-19, entre domination et soumission

Dans la crise liée au covid-19, lequel d’entre nous oserait prétendre savoir ce qui s’est réellement passé pour qu’un virus parvienne à confiner la quasi totalité des pays de notre vaste monde?

Parce que, si comme toujours, certain(e)s nous sortent des explications développées avec preuves sinon arguments à l’appui, elles ne répondent qu’à leur vision du monde.

Or ce sont des luttes sans merci qui se mènent entre puissants, de quelques bords soient-ils. Car la soif de dominer ne se préoccupe que d’elle seule.

Alors oui, au sein des peuples, la colère gronde. Alimentée par la misère qui se profile pour nombre d’entre eux, il y a à craindre.

Sauf à se soumettre.

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Covid-19 entre alarmisme et réalisme

Que voilà une parole réaliste que celle qui figure en illustration de ce sujet!

Oui, elle a été émise par un homme qui essuie nombre de critiques, normal, quand on gouverne, on n’y coupe à peu près pas.

Sauf à être un Saint et encore…

En d’autres termes, reconnaître combien les avis divergent sur ce virus qui a confiné le monde entier ou presque est un acte de salut public.

Et que pareils propos aient été énoncés par le Premier ministre de la République française l’honore.

Les polémiques sont sans fin sur les réseaux sociaux et sur les médias. On se bat à coup de statistiques, de prévisions alors que l’on navigue à vue et que rares sont celles et ceux qui veulent bien le reconnaître.

On peut désavouer les complotistes et on ne s’en prive pas.

On peut tout autant désavouer ces experts qui vous serinent avec arrogance ce qu ‘il en est d’un virus dont ils seraient seuls à connaître l’action.

Monsieur Philippe, cet aveu vous rend plus crédible que n’importe quel(le) invité(e) de nos médias qui vient nous expliquer ce qui nous attend pour les mois à venir.

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Covid-19, la bataille idéologique fait rage

Dans la situation que nous vivons en relation avec le Covid-19, la politique a résolument pris le pas sur toute autre considération.

Aussi et comme toujours, n’aura-t-on que les traitements admis par tel ou tel pouvoir qui aura imposé sa conception du mal.

Tel protocole sera donc adopté par tel gouvernement à l’exclusion de tout autre. Sauf que la colère gronde. Car pour lutter contre un mal, ce sont de nombreux autres qui ont été générés.

Le confinement imposé a mis quantité d’entreprises à terre et créé une misère non seulement économique mais sociale et psychique aussi.

Comme toujours, un mal est exploité par qui y trouve son intérêt, rien de nouveau sous le soleil. Se résigner à ce genre de constat relève, au mieux de la sagesse, au pis, du fatalisme.

Que cela aide ou non, à chacune et à chacun de l’envisager comme elle et il l’entend.

Il n’en demeure pas moins que la lutte qui s’est assez vite engagée en relation avec le Covid-19 a tout autant tourné autour de la question de son origine que de sa médicamentation.

Et alors, tout y a passé. Les forces du mal se seraient liguées pour réduire la population, entre autre, et en prendre le contrôle.

C’est dans ce sens que s’est exprimé un ancien officier du renseignement russe, Vladimir Vassilievitch Kvachkov dont les propos ont d’abord été supprimés de youtube pour y réapparaître ensuite.

Ce qu’en pense le Kremlin, le sait-on seulement?

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Covid-19, communication et statistiques en question

Il est très instructif de parcourir chaque jour ce qui se partage comme publications sur les réseaux sociaux en relation avec la pandémie due au covid-19.

Pourquoi?

Parce qu’on y trouve exprimées autant d’opinions sur la crise qui confine encore la planète à l’exception de certains pays qui ont déjà entamé, en partie, le déconfinement.

Un article du journal « Le Monde », dont on peut toujours contester l’orientation, émet cependant un point de vue qui vaut le détour.

D’accord et je l’ai assez montré sur ce blog, ce journal a ses partis pris.

Mais lorsqu’il renvoie la quasi totalité des gouvernements du globe à leur copie respective, il ouvre un intéressant champ de réflexion.

Il est probable que l’article soit réservé aux abonnés, l’édition papier devrait pouvoir se trouver dans quelque point de vente accessible.

Quoi qu’il en soit, pour toutes celles et tous ceux qui sont d’avis que l’on sur-estime l’ampleur des dégâts causés par cette pandémie, libre à elles et eux de le penser.

Le fait est que l’article cité plus haut en référence indique l’exact contraire.

A savoir que la plupart des gouvernements n’auraient pas révélé le nombre exact de morts du covid-19 mais l’aurait minimisé. Alors pour qui souhaite encore s’y retrouver, bon courage!

Sauf à considérer que les journalistes ne communiquent pas comme les personnalités politiques au pouvoir. Ou que les sources de leurs statistiques divergent…

A choix!