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Un virus et des politiques de pestiféré(e)s

Ce qu’on a vécu comme une crise mondiale a tenu à un virus et autant à ce qui s’est mis en place comme politiques de santé.

Et parmi elles, celles qui ont visé nos anciens demeurent à l’heure qu’il est encore discutables tant nombre d’entre eux sont tombés comme des mouches.

Au prétexte de les voir contaminer ou d’être contaminés par leurs descendants, on les a enfermés plus encore qu’ils ne l’étaient déjà.

Quelle immense tristesse ont-ils dû ressentir et quelle envie de vivre encore et malgré tout les ont-elles animés, seul(e)s celles et ceux qui ont survécu en témoigneront.

Pour toutes et tous les autres, l’absence de proches à leurs côtés aura eu raison de leurs attentes, de leurs espoirs, de leurs souffrances, atteint(e)s ou non par la Covid-19.

La mort a emporté nombre de nos aînés, on le sait. Mais combien ont-ils succombé au virus, combien au sentiment d’abandon?

Au prétexte de les protéger alors qu’au sein même des institutions qui les hébergeaient ont été d’emblée signalées les carences en matériel indispensable au respect de l’hygiène, on y aura ajouté la privation d’êtres chers.

Alors oui, virus il y a bien eu et y aura peut-être encore.

Mais cruauté envers des êtres parqués dans des foyers à eux seuls réservés aussi. Car les conditions même de leur hébergement ont bien moins été pointées que les visites de leurs proches!

Paix à leurs âmes et puissent-elles reposer désormais loin de tourments à venir encore!

 

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Le mépris du monde d’avant, de maintenant et d’après

Depuis qu’a sévi ou sévira encore, on n’en sait toujours rien, la Covid-19, oui, il paraît qu’on doit utiliser le féminin, depuis donc que ce virus a confiné la quasi totalité de la planète, on s’ingénie à parler de « monde d’avant » et de « monde d’après ».

Bien sûr que le confinement a créé des conditions de vie et des conséquences dont on n’a pas encore fini de mesurer l’ampleur. Alors oui, il y a un avant et un après confinement.

Mais de « monde d’avant » et de « monde d’après », tout dépend du regard qu’on choisit de porter sur l’un et l’autre. Car si l’on se réfère, par exemple, au comportement des gens, aucun « monde d’avant » n’a été remplacé par un « monde d’après ».

En témoignent la désinvolture avec laquelle masques et gants tant recommandés pour lutter contre le virus sont abandonnés sans scrupules ici et là.

De longue date, on constate les poubelles de nos villes déborder et les déchets joncher les rues et les trottoirs. S’y ajoutent désormais tout l’attirail destiné à protéger autrui et à se protéger soi-même du virus.

Selon cet article, à lire absolument, un masque mettrait 450 ans à se désagréger.

Alors pour les changements, on repassera! La même insolence, le même mépris envers la nature signent la pérennité d’un monde d’égoïsme et qui n’a de considération que pour lui seul.

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Covid-19, une application de traçage et quelques questions

Et voici que le ministre de la santé suisse explique la suite prévue dans le cadre de ce qu’on a appelé crise, épidémie ou pandémie liée au Covid-19.

Il s’agit de suivre à la trace des « volontaires » est-il bien précisé, qui téléchargeraient une application de traçage, dénommée SwissCovid.

Celle-ci a été développée par l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) et l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zürich (EPFZ).

Fort bien.

Donc comme l’opération est sensible, nous dit-on encore, on va y mettre des « garde-fous ». Ah la bonne heur, ainsi le Parlement aura-t-il à se prononcer sur une base légale qui repose sur une modification de la loi sur les épidémies. 

Et l’article de nous préciser encore que les deux chambres devraient se pencher sur le projet lors de la session de juin déjà. Ce qui laisse espérer un démarrage de l’application à l’été. «Mais des essais pilotes sont déjà menés», précise Alain Berset.

Notre santé avant tout?

A l’évidence pour qui a mis en place un tel mode d’approche de la maladie. Or entre les personnes qui se montrent favorables au traçage numérique et les autres, n’existent pas que des adeptes de « théories du complot »!

Il se trouve encore des êtres qui se situent entre les extrêmes.

Puissent-ils être entendus tant la question posée au ministre de la santé et la réponse qu’il y apporte laisseraient presque entendre que le téléchargement de l’application devienne, un jour, obligatoire:

Miser sur une base volontaire pour télécharger l’application, n’est-ce pas prendre le risque que trop peu de personnes s’inscrivent et qu’il faille la rendre obligatoire par la suite? Alain Berset ne le pense pas.

A suivre…

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Un monde de prisonniers

Nous vivrions dans des démocraties.

Enfin, c’est ce qui nous est répété tandis que sont pointés du doigt autant de « régimes » qualifiés au mieux d’autoritaires, sinon, de dictatoriaux.

Parmi eux figurent souvent en bonne place, des pays dont on dit que la censure y sévirait.

Et de citer ces personnalités qui, pour avoir osé s’exprimer, se retrouvent aussitôt derrière des barreaux quand leur vie ne leur est pas soudain prise par telle ou telle mort (in)expliquée.

Tout cela est bien connu, sans cesse rappelé à longueur de colonnes de journaux, d’ondes radiophoniques ou de plateaux de télévisions par les incontournables chantres des « droits humains ».

Mais en quoi consiste donc notre liberté à nous, chérie et tant défendue? D’avoir tout simplement droit à une parole ailleurs interdite?

Non, bien davantage! A vivre comme on l’entend, est-il souvent rétorqué.

En effet, crise du Covid-19 oblige, jamais la dépendance à un pays qualifié de « dictature » n’aura si bien été révélée.

Avec ses carences en matériel apte à permettre de surmonter ce fléau qui a paralysé ce que d’aucuns s’ingénient à appeler « le monde d’avant », c’est un monde de prisonniers qui aura été découvert.

Un univers concentrationnaire dans lequel chacune et chacun était convaincu(e)d’être libre…

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Epidémies: du quasi silence médiatico-politique en 1968-70 au battage cacophonique d’aujourd’hui

Je vous invite très vivement à prendre connaissance de l’article dont l’intitulé illustre ce sujet. Il concerne la grippe de Hong-Kong qui avait fait le tour du monde entre 1968 et 1970.

Publié le 7 décembre 2005 dans le journal Libération, il y a été republié en mars de cette année, nous apprend Le Monde qui le cite.

On y découvre de cette grippe dite de Hong-Kong, qu’elle a tué environ un million de personnes, selon les estimations de l’Organisation mondiale de la santé.

Mais surtout, qu’elle n’a intéressé ni le monde médiatique, ni le monde politique apparemment occupés à bien d’autres urgences.

Que penser sinon que, depuis que sévit le Covid-19, nos médias et nos gouvernements se sont eux, au contraire, démenés pour nous dire un peu tout et son contraire?

Tous ont donc, comme on dit de nos jours, « communiqué ».

Ils l’ont fait à leur manière, on l’a vu ici-même, les journalistes surfant le plus souvent sur la peur, les politicien(ne)s naviguant au gré d’avis contradictoires.

A lire, en tous cas, ce qu’a écrit Corinne Bensimon, auteur de l’article du 7 décembre 2005 cité en référence, on mesure la criante différence de traitement d’un virus mortel.

A chacune et à chacun de vous d’en tirer les conclusions qu’elle ou il souhaite, elles existent, c’est indéniable.

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Immunité collective à acquérir bientôt contre nos médias?

Tandis que nombre de pays européens abordent un déconfinement progressif suite à la crise due au Covid-19, nos médias ne ménagent pas leur peine pour continuer d’alimenter la peur.

En voici déjà qui nous prédisent une « nouvelle vague » qui pourrait tout autant tenir du cinéma que de la réalité.

En effet, depuis le début de ce qui s’appelle pandémie pour les uns, épidémie pour d’autres, le sentiment d’être informé le cède peu à peu à celui d’être maintenu dans un état psychologique de type anxiogène.

D’accord, les médias n’ont jamais eu vocation à jouer les humanitaires mais enfin!

Quel but poursuivent-ils tandis que, désormais, ils nous sortent un nouveau virus qui n’a de nouveau que l’inculture de qui le diffuse?

En effet, le VHE brandi telle une menace qui pourrait être égale à celui du Covid-19 est connu au moins depuis 2017.

Quel intérêt donc, à relayer ce que publie CNN qui pense peut-être livrer là un scoop?

On s’étonne, ensuite, que des groupes de résistance se forment. Mais l’immunité collective à acquérir est peut-être bel et bien celle qui devra nous protéger d’autant d’informations détournées sinon abusives.

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Ce 9 mai, mémoire éternelle pour 27 millions de Soviétiques

En ce 9 mai, jour où est célébrée la Victoire en Russie mais aussi dans les anciennes républiques soviétiques, mes pensées vont à autant des leurs disparus.

Ce sont 27 millions de morts qu’a compté l’ex URSS.

Ces millions de morts, au fil du temps et d’une certaine réécriture de l’Histoire, sont de plus en plus négligés.

Et comme désormais la voix des femmes se fait de plus en plus entendre, ce sont autant de viols que les Allemandes ont subis après la prise de Berlin que certains documentaires mettent en avant.

A juste titre, bien sûr.

Mais on apprend, par exemple, que les Soviétiques auraient été plus nombreux que les autres à se jeter sur les femmes allemandes.

C’est le journal « 24 heures », ce même journal dont a été prise en capture d’écran la photo qui illustre ce sujet, qui écrit qu’ une historienne a réussi à tordre le cou à une légende: celle du violeur russe.

«C’est une image véhiculée pendant la guerre froide par la propagande occidentale contre l’Union soviétique», dit-elle. Or, selon elle, sur les 860 000 viols perpétrés par les «libérateurs», 500 000 ont été commis par les soldats de l’Armée rouge mais aussi 190 000 par les Américains, 50 000 par les Français et 30 000 par les Britanniques. «J’ai été surprise par l’ampleur des viols commis par les Occidentaux», lâche-t-elle.

Cela dit, il devient presque impossible de parler des uns et des autres de ces pays dont les soldats se sont entre-tués sans passer pour pro-tel ou anti-tel.

Or ce qu’on commémore avant tout est le sacrifice d’êtres humains desquels l’avis n’avait pas forcément été demandé de se retrouver dans la boucherie qu’est toute guerre. Paix à leur âme.

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8 et 9 mai 2020, Mémoire et Histoire en marche

Un 8 mai confiné, qui l’aurait seulement imaginé? Et tout autant pour le 9 mai, demain en Russie?

Célébrer une victoire dans les conditions imposées par nombre de gouvernements de pays soucieux de préserver leurs citoyennes et leurs citoyens autant que leurs systèmes de santé respectifs est une première.

Qui sait si, dans 75 ans, pareilles célébrations n’auront pas, elles aussi, valeur mémorielle?

Après tout, la propension à rappeler tel et tel événement pourrait tout aussi bien inclure ce confinement obligé et son cortège de conséquences. Nombre d’entre elles demeurent encore inconnues.

Tout autant ce qui entoure le Covid-19 dont la principale idée qu’on aura pu s’en faire est la controverse qu’il aura générée à de très nombreux égards.

Que vive la Mémoire, que vive l’Histoire et que soit, enfin, salué le déconfinement!

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Covid-19, ce 11 mai à venir…

Ce qu’on peut dire dans le cadre de ce que d’aucuns appellent « épidémie »  quand d’autres lui préfèrent le terme de « pandémie », c’est qu’à ce niveau-là déjà domine la confusion.

Le reste suit. On a un virus, on dit beaucoup de choses qui « évoluent au gré de ce qu’on en apprend », on applique des mesures et un protocole de traitement.

Tout cela entouré de polémiques entre scientifiques, entre politiques et plus encore.

Quant au bon peuple, il suit, renonce ou tient à se faire entendre. A cet égard, les parlementaires le représenteraient sauf qu’en état d’urgence, ils n’ont pas droit à la parole.

Cela dit, nul n’ignore comment sont approché(e)s les élu(e)s par des entreprises ou des particuliers. Certes, en toute légalité, parfois à ce qui s’y apparente.

Il n’en demeure pas moins qu’une fois lié par un « cadeau », c’est une part de liberté qu’on cède.

Donc allez savoir ce qui attend les citoyen(ne)s…

Dès le 11 mai en Suisse, par exemple, la clientèle qui se réjouirait d’aller au restaurant, devra décliner son identité et donner son numéro de téléphone.

L’a-t-elle voulu? Et le souhaitera-t-elle?

Les avis sont évidemment partagés. Mais la question reste en suspens car il n’incomberait pas à chaque restaurateur d’exiger pareille demande à ses hôtes, selon le président de Gastrosuisse.

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Covid-19, entre domination et soumission

Dans la crise liée au covid-19, lequel d’entre nous oserait prétendre savoir ce qui s’est réellement passé pour qu’un virus parvienne à confiner la quasi totalité des pays de notre vaste monde?

Parce que, si comme toujours, certain(e)s nous sortent des explications développées avec preuves sinon arguments à l’appui, elles ne répondent qu’à leur vision du monde.

Or ce sont des luttes sans merci qui se mènent entre puissants, de quelques bords soient-ils. Car la soif de dominer ne se préoccupe que d’elle seule.

Alors oui, au sein des peuples, la colère gronde. Alimentée par la misère qui se profile pour nombre d’entre eux, il y a à craindre.

Sauf à se soumettre.