capture d’écran: Huffingtonpost
Je vous le dis avec gravité, ne vous laissez pas abuser, ainsi s’exprime François Fillon face à ses compatriotes.
A ceux qui le suivent et à ceux qui le combattent, ce n’est pas moi seulement qu’on assassine, précise-t-il. C’est l’élection présidentielle.
François Fillon se défend, c’est son droit.
Abattre un candidat au profit d’un autre dont tout veut faire croire qu’il sera l’homme – la femme?- de la situation est un vaudeville dont le théâtre qui le donnerait à jouer serait aussi couru que déserté selon les goûts et les couleurs.
A vrai dire, rien de nouveau à ce spectacle de la nature humaine.
Pendant ce temps-là, le monde continue de tourner avec ses guerres ouvertes de longue date et couvertes avec une objectivité telle qu’on ne peut qu’accorder crédit à autant de médias qui en rendent compte, qui en douterait?
Car on le sait, tout doit concourir à apporter au monde les seules vraies valeurs dignes de ce nom, celles de la démocratie dont nous sommes bénéficiaires, nous autres Occidentaux tandis qu’autant de peuples demeurent encore opprimés par les régimes qui les gouvernent.
François Fillon n’est pas le candidat du système. Pas davantage, Marie Le Pen, visée, elle aussi par une enquête. Restent les autres, les dénommés petits ou celui qui semble dores et déjà élu des médias.
Chercher l’erreur, serait-ce (encore) croire au Père Noël?
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