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La mort frappe Donetsk, martyre de Kiev

L’horreur à l’état brut, vous voulez la voir? Alors je vous en prie, ne venez plus raconter que les uns sont les gentils et les autres les méchants.

Ce reportage est insoutenable.

Mais il faut le visionner pour mesurer ce qui se passe à quelques centaines de kilomètres de chez nous et que nos médias dits mainstream nous montrent  à si petites doses.

Normal, cela pourrait choquer.

Des civils qui meurent à Dontesk, ville du Donbass dont personne ou si peu savaient que cette région du Sud Est de l’Ukraine existait avant que le monde entier ne se déchaîne sur la Russie et son Président.

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Détresse

Je souhaite partager avec vous la détresse de la reporter française Anne-Laure Bonnel. Je vous prie de visionner sa vidéo de 3’44. Elle ne cache rien. Ni la réalité d’une guerre qu’elle filme au quotidien, ni son immense amertume et c’est encore très peu dire.

Vous comprendrez, alors peut-être, pourquoi je me suis tant mobilisée depuis huit ans sur ce blog.

Mais une personne de mes contacts sur un réseau social bien connu commente cette vidéo ainsi: « J’ai de la famille à Kramatorsk et Donetsk. Ce sont des troupes russes qui ont détruit Donbass. Poutine a préparé cette guerre depuis très longtemps et s’était servi du Donbass malheureusement ».

Alors, Chères amies et Chers amis, vous mesurerez à quel point il est complexe de poursuivre pareil engagement en faveur de victimes dont le sort a si peu concerné nos médias alors qu’il est ainsi perçu par cette personne de mes contacts. Je ne la connais pas. Je ne puis savoir  si elle dit vrai ou faux.

Quoi qu’il en soit, je comprends que si un jour on apprend la ou les véritables raisons qui ont déclenché cette boucherie en Ukraine, on ne sera fixé que sur ce que l’on n’ignore plus de très longue date, la propension au cynisme absolu.

Une profonde tristesse m’envahit. Et pas que depuis le 24 février.

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Les références occidentales

Le commentaire d’un fidèle de ce blog depuis des années m’a émue et je souhaite y revenir. En effet, il a rappelé la lettre ouverte que j’avais adressée à la Nobel de littérature 2015.

Il l’a retrouvée, traduite en anglais sur ce site.

Cette lettre, au sujet de laquelle une éminente Universitaire avait écrit dans un de ses ouvrages fort apprécié de nombre de rédactions, que je me « déchaînais » contre une « remarquable femme de lettres », la voici en français.

On m’a même reproché qu’elle se termine par « Avec respect », à vous d’estimer comment je me suis « déchaînée ».

Pour le reste, je laisse à votre appréciation et à celle de ladite Universitaire, la manière de réécrire pour les besoins de ses livres, les témoignages reçus par la journaliste lauréate du Nobel, manière qui a été discutée par la très peu poutinophile, Galia Ackermann.

C’est dire!

C’est dire les références de l’Occident qui décerne un Nobel de littérature à une journaliste qui, dans sa jeunesse, a dressé les louanges d’un véritable tyran, a profité des avantages réservés aux écrivains soviétiques comme membre de l’Union des Ecrivains.

Et à lire ce que mon ancien Professeur Georges Nivat en dit dans une interview qu’il a accordée au journal Le Temps, elle n’apparaît pas trop belle, cette Union…

Repensez à la création de l’Union des écrivains en 1933 avec Gorki. Rappelez-vous ses articles ignominieux pour dire que si l’ennemi ne se rend pas, il faut l’anéantir. Il faut même l’anéantir avant qu’il ait fait du mal. Autrement dit, il faut avoir du flair. C’est un éloge à peine déguisé du KGB, dont lui-même va périr.

Svetlana Alexiévitch, elle, n’a pas « péri ». Elle n’a pas non plus subi le sort réservé aux dissidents.

Vous m’expliquerez comment cette jeune admiratrice du cruel Félix Dzerjinski a réussi à se muer en figure biélorusse d’opposition, en figure littéraire hostile à « l’ancien du KGB » comme on se repait à souhait de présenter le Président de la Fédération de Russie!

Les Russes ont une mémoire. Ils se rappellent qui a été et qui est Alexiévitch.

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Jamais je n’oublierai les exactions commises dans le Donbass.

Qui veut encore comprendre ce qu’a subi le Donbass huit ans durant avant de juger ce qui se passe en Ukraine?

L’ignorer, le négliger ne va certes pas améliorer le sort d’autant de celles et ceux qui désormais souffrent, fuient ou tombent sous la violence de balles ou d’obus.

Toute guerre est moche. Toute guerre est laide.

Mais certaines sont médiatisées, instrumentalisées et galvanisent des foules haineuses. C’est le cas avec ce qui secoue l’Ukraine. Ce ne fut pas le cas avec le conflit sanglant qui a meurtri le Donbass huit ans durant.

Et jamais je n’oublierai les horreurs qu’ont subies les populations de cette région. Jamais. Car le silence de nos journalistes et de nos politicien(ne)s qui ne se sont pas plus que cela ému(e)s de vies détruites est condamnable.

Alors pour l’émotion à géométrie si variable, merci pour les victimes tombées dans l’oubli des « unes » et des tribunes politiciennes.

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Lettre

Il ne s’agit d’aucune plainte. Il s’agit d’un constat.

Autant le dire vu les remarques auxquelles j’ai déjà eu droit sur un réseau social tandis qu’on me rappelait le sort de victimes de guerre. Merci, je l’ignorais. A tel point que je n’ai cessé de rappeler celui de milliers d’adultes et d’enfants dont nos médias se sont habilement arrangés pour, au mieux, les qualifier de « Pro-Russes », sinon de « rebelles ».

Je veux donc parler des victimes de la guerre du Donbass, guerre qui a ensanglanté huit ans durant le coeur même de l’Europe.

Alors, à l’heure où la guerre sévit en Ukraine, plutôt que de me laisser rappeler ces huit ans de souffrance, on a choisi de se passer d’une prise de position qui a toujours eu comme priorité l’humanisme.

Et qu’est-ce que l’humanisme?

Le contraire de la politique. Le contraire de l’idéologie. Le contraire de l’aveuglement partisan. Merci, dans ce sens, de prendre connaissance de la lettre que j’adresse aujourd’hui à la Directrice de l’institution publique de laquelle il a été question dans un précédent sujet de ce blog.

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                                                                                                                                                                             Genève, le 11 mars 2022

Madame,

Après avoir été invitée et désinvitée à la soirée que la Maison Rousseau de la littérature que vous dirigez a agendée au 5 avril prochain autour de la guerre en Ukraine et dans le cadre d’un cycle d’interventions consacrées à « Rousseau et la nature », ici, en l’occurrence, Rousseau et la guerre, je tiens à vous faire part de ma très grande déception.

Lorsque j’ai été contactée pour participer à cet événement, j’ai été profondément touchée mais tout autant surprise, vu le peu de visibilité que j’ai dans ma propre ville, dans mon propre canton et dans mon propre pays. Mais peut-être que le fait d’avoir été reconnue en tant qu’écrivain, en Russie, m’a mise en marge du milieu culturel suisse, romand et genevois.

En tous les cas, lorsqu’un ancien élu de la Ville de Genève, commente sous le sujet de blog que j’ai partagé sur un réseau social bien connu et dans lequel j’ai fait part de la triste mésaventure qui est arrivée avec ma désinvitation à votre soirée, lorsque cet ancien élu commente, « Autant inviter Poutine », pour me faire comprendre, ensuite, que j’étais sa digne représentante, on mesure non seulement le haut niveau de réflexion de la personne en question mais surtout, son aveuglement qui rejoint celui de tant d’autres.

Car oui, hélas, il est loin d’être le premier ni le seul à m’avoir d’emblée assimilée au Président russe et au Kremlin. Et je suis loin d’être la seule dans ce cas quand on sait que même l’Académicien Andreï Makine a été qualifié de « Poutinien à l’Académie » par BiblioObs, on réalise à quel point l’idéologie doublée du manque total de retenue et de recul s’est emparée de ce qui nous est présenté comme « élite » de nos sociétés.

Lors de cette table ronde du 5 avril prochain à laquelle je me réjouissais tant de participer, j’aurais rappelé ce qui s’est passé dans le Donbass et qui a été entouré de huit ans de silence médiatique. J’aurais déploré le mélange de genres qui assimile toute personne amie de la Russie à une inféodée de son Président. J’aurais déploré la propagande occidentale déployée à l’encontre de la Russie.

Et je sais de quoi je parle puisque je me suis retrouvée figurer en bonne place dans l’ouvrage intitulé « Les réseaux du Kremlin en France » qu’a signé une Universitaire encore invitée récente du 20 heures de TF1. C’est dire la qualité des hôtes que l’on accueille tandis que cette femme a été reconnue coupable de diffamation à l’encontre de l’une des six parties civiles dont j’ai été, dans le cadre d’un procès qui s’est tenu en mars 2019 au Tribunal de Grande Instance de Paris et dont je jugement a été confirmé en appel l’an dernier.

Madame, il est désormais devenu à peu près sinon carrément impossible de parler de la Russie sans, immédiatement, être affilié à son Président ou au Kremlin. Il se trouve que l’essentiel de mon parcours littéraire s’est développé dans ce pays où mes six recueils de nouvelles ont été traduits en russe et publiés en édition bilingue. Il se trouve que mes livres ont rencontré un intérêt et un goût que l’Italie et la Géorgie ont, elles aussi partagés, tandis que la Suisse s’est arrêtée aux seuls deux premiers recueils de nouvelles.

Tout cela pour vous dire qu’en tant qu’écrivain, j’aurais été heureuse de participer à votre soirée. Mais pour me retirer du panel sélectionné, a été mentionné mon « rapport personnel à la Russie ». Je n’ai toujours pas compris le sens de cet argument. Pour votre information, j’ai mené des études de russe à l’Université de Genève, j’ai séjourné comme étudiante à Moscou et à Léningrad, donc du temps de l’ex-URSS et j’ai découvert la Fédération de Russie en 2004 par mon premier recueil de nouvelles traduit en russe, « Nouvelles de personne ».

Et puis, en 2012, sur le blog neuf ans durant hébergé par la Tribune de Genève, j’ai commencé à parler de la Russie. Le modérateur de l’époque m’y avait invitée dès 2010 et j’avais répondu que non, je n’étais pas en mesure de m’exprimer sur un pays que je ne connaissais pas encore assez. Ce sont donc mes nombreux séjours dus aux invitations qui m’ont été adressées en tant qu’écrivain et que le Département Fédéral des Affaires Etrangères (DFAE) a soutenues au plan financier, que j’ai affiné ma perception de la Fédération de Russie.

Vous avez décidé de vous passer de ma parole, libre à vous. Libre à moi aussi de vous faire part de ma grande amertume et de la partager sur mon blog où, dans un premier temps, j’ai caché le nom de votre institution. Mais comme, souvent, on a pensé qu’il s’agissait d’un média, je pense utile de préciser que non, il est question d’un lieu public, emblématique de la Ville et qui accueille des activités culturelles en lien avec Rousseau.

Croyez, Madame, à l’expression de mes sentiments amers,

Hélène Richard-Favre

 

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Donbass, des hôpitaux bombardés il y a 7 ans. Le mal n’a pas le même sens pour nos médias

Des pages et des pages sont à remplir sur la manière de plier les opinions à la seule qui doit dominer. Combien d’entre nous ne s’y sont pas déjà employés et sans relâche?

On découvre, ce jour, ce qui choque. Ce qui doit choquer. Une maternité bombardée.

Inutile d’en rajouter, chacune et chacun mesure en son for intérieur ce que représente pareille attaque. Dans ce sens, j’imagine combien parents et proches de victimes de telles catastrophes auraient été heureux que l’on considère leur douleur, il y a 7 ans.

Oui, il y a 7 ans, déjà. Dans ce Donbass dont tant de nos compatriotes découvrent soudain l’existence.

Qui aurait pu la connaître, l’existence de cette région située au coeur de l’Europe alors que nos médias observaient une telle retenue, une telle réserve à en traiter quand ils en traitaient?

Il y a 7 ans déjà, des bombardements visaient des hôpitaux du Donbass.  Msf avait communiqué à cet effet.

La douleur des uns face à la douleur des autres, vaste sujet qui ne date ni d’hier ni d’aujourd’hui, hélas! Parce que le mal, parce que la mort, infligée et subie, n’as pas le même sens ici ou là.

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Guerre en Ukraine, on vous invite et puis, on vous désinvite… d’une table ronde

Eclairez-moi!

Lorsqu’on vous invite à participer à une table ronde et que, le surlendemain, on vous explique qu’en fait, votre position sera décalée par rapport à celle des autres personnes du « panel » et qu’en compensation, on vous propose de prendre place dans la salle où se tiendra ladite table ronde au cas où vous souhaiteriez malgré tout intervenir, que comprendre?

La table ronde en question porte sur la guerre en Ukraine.

Et ma relation à la Russie, m’a-t-il été expliqué, est « personnelle » de par mon parcours littéraire qui s’y est développé, Franco-Suissesse que je suis. Mais je tiens un blog, ai-je rappelé à mon interlocutrice, à l’évidence gênée de devoir annuler ma participation à ladite table ronde.

Oui, me dit-elle, je le sais!

Et sur ce blog, je parle du Donbass depuis 8 ans qu’y sévit la guerre tandis que 8 ans de silence médiatique l’a entourée, cette guerre. Oui, me dit encore mon interlocutrice. Alors j’aurais été contente de pouvoir expliquer ce qui s’est passé que tant de gens ignorent et qui aide à comprendre la situation actuelle.

Oui, me répond mon interlocutrice, toujours aussi empruntée d’avoir dû faire marche arrière. Par égard envers elle, qui n’y est pour rien, je tairai le nom de l’institution, institution qui n’est pas privée, je précise et dont la direction n’a pas voulu de moi.

Mais convier quelqu’un à prendre la parole en public, lui demander sa photo, sa biographie et des documents en vue de la préparation de l’événement pour, deux jours plus tard, déprogrammer sa présence au sein du « panel », là,  quelque chose m’échappe.

En fait, pas vraiment mais bon…

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Guerre en Ukraine, la curée, valeur refuge de l’Occident

On a pressé la cantatrice Anna Netrebko de se positionner dans le cadre de la guerre en Ukraine. Faute d’avoir déclaré son hostilité à son Président, elle quitte le Met.

Sur le site Diapason, elle estime « pas juste de forcer les artistes, ou toute autre personnalité, à exprimer leurs opinions politiques en public et à dénoncer leur patrie, précise-t-elle. Cela devrait être un choix libre. Comme beaucoup de mes collègues, je ne suis pas une personne politique. Je ne suis pas un expert en politique. Je suis un artiste et mon but est d’unir les gens au-delà des clivages politiques. »

Et sur le site de France 24 on lit ceci:

« Ne s’étant pas conformée aux conditions du Met pour qu’elle répudie son soutien officiel à Vladimir Poutine qui fait la guerre en Ukraine, la soprano Anna Netrebko s’est retirée de ses concerts à venir au Met pour +Turandot+ de Puccini en avril et mai ainsi que pour +Don Carlos+ de Verdi à la prochaine saison », a indiqué l’Opéra dans un communiqué, ajoutant que la soprano ukrainienne Liudmyla Monastyrska la remplacerait pour l’opéra « Turandot ».

Sacré choix que celui de remplacer une cantatrice russe par une cantatrice ukrainienne… à peine politique, très culturel sans doute…

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Continuer de parler d’une guerre qui clive…

Aucune guerre n’est propre, aucune guerre ne se livre sans que ne coule le sang, sans que l’exil ne s’y ajoute, sans que la destruction massive ne s’en mêle. Ces évidences rappelées, je remercie toutes celles et ceux qui ont su saisir le sens de mon approche.

Elle n’est pas de soutenir un camp pour en rejeter un autre. Elle est de refuser la diabolisation de la Russie.

Elle est d’afficher mon amour de ce pays qui n’a pas changé d’un iota depuis l’âge de 15 ans où l’envie d’en apprendre la langue m’a déterminée à m’inscrire à la faculté des Lettres de l’Université de Genève pour en étudier la culture et l’Histoire.

C’était en 1972, oui, je suis consciente de me répéter et c’est à dessein que je m’y emploie.

Parce que le zèle avec lequel la plus grande partie de nos élites politico-médiatico-intellectuelles se positionne pour soutenir un pays contre l’autre, en l’occurrence, l’Ukraine contre la Russie, relève du parti pris quand ce n’est pas de l’ignorance ou de la malhonnêteté.

Car j’aimerais qu’on m’explique comment des victimes du nazisme peuvent fermer les yeux sur le fait que l’une des principales artères de Kiev ait été rebaptisée en 2016 du nom de Stepan Bandera. Savez-vous qui est cet homme? A en croire le quotidien 20 minutes, François Asselineau l’aurait expliqué.

Et alors, le journal de se fendre d’un appel à la prudence… A chacune et à chacun de vous d’en conclure ce qui vous convient d’autant de contorsions pour nous faire passer une réalité qui, comment dire, ne devrait pas déranger plus que cela.

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La haine conjuguée à l’ignorance

Qu’un Conseiller d’Etat de mon canton, Genève,  publie ses appréciations personnelles des actions du Président d’un pays sans mieux s’informer en dit long sur le devoir de réserve qui semble devoir incomber à un représentant de l’Autorité cantonale!

Par respect envers lui, je ne citerai pas son nom. Mais j’ajouterai qu’à sa place, je m’abstiendrais.

Car, pour rappel, Genève et la Suisse ont abrité, abritent peut-être encore, un homme qui s’est vanté dans les colonnes qui lui ont été grandes ouvertes de la Tribune de Genève du 1er juin 2014, de financer, en Ukraine, des bataillons dont je préfère taire le nom aussi.

Cet homme, oligarque qui nous a appris disposer de trois passeports, a été, l’est-il encore, au bénéfice d’un forfait fiscal.

Argent propre, argent sale, le Parti socialiste qui veut créer une « task force pour enquêter sur les oligarques », russes s’entend puisque ce désir s’inscrit dans le cadre de « Sanctions contre la Russie », ce Parti nous en dira plus s’il daigne se tourner vers les agissements si honorables de cet encore actuel ou ancien résident fiscal financier de bataillons en Ukraine.

Quant à la salade russe au sujet de laquelle on se précipite d’assurer les consommateurs et consommatrices qu’elle se fabrique bel et bien en Suisse et non dans cette Fédération de Russie désormais honnie et bannie par autant de savants juges et censeurs omniscients, je vous laisse évaluer le niveau de la communication!

Oui, j’aime la Russie. Et je ne me lasserai pas de le répéter autant de fois que je lirai et entendrai la haine qui lui est vouée.